Le mythe de la jeunesse éternelle en a tué plus d’un ! Au Moyen-Age, les Français de la cour, pensaient que boire une potion à base d’or les rajeunirait. Beaucoup en sont morts. Explications.

Diane de Poitiers en a fait les frais et ce n’est pas la seule. Et oui, boire de l’or, ce n’est pas conseillé.

Pourtant, certaines personnes de la cour au 16ème siècle s’adonnaient à cette pratique pensant ainsi obtenir la jeunesse éternelle. 

Cet élixir de jouvence, aussi appelée potion d’or, était en fait extrêmement toxique. Car avant de boire de l’or, il faut passer par un exercice de mixologie complexe et dangereux. 
https://www.gentside.com/or/au-16eme-siecle-les-francais-buvaient-de-l-or_art87422.html
http://www.lefigaro.fr/sciences-technologies/2009/12/23/01030-20091223ARTFIG00013-diane-de-poitiers-morte-d-avoir-voulu-rester-jeune-.php

La plupart du temps,  l'architecture suit les styles de son temps. Ensuite, il y a les structures vraiment bizarres. Par exemple, la tour de Pise est célèbre surtout parce qu'elle penche.
Étonnamment, ce n’est pas la seule tour penchée. Il se trouve que c'est la plus populaire. Certaines tours penchées sont encore plus inclinées et ont des histoires  plus impressionnantes que la tour de Pise.

L'église de Suurhusen en Allemagne ...

La tour penchée de Suurhusen détient le record du monde Guinness du bâtiment le plus penché au monde. Il s'incline de 5,19 degrés. À titre de comparaison, la tour penchée de Pise est inclinée de 3,99 degrés. La tour penchée de Suurhusen fait partie d'une église qui y est attachée.

Elle a été construite au Moyen Age dans un environnement marécageux. Les constructeurs ont donc enterré des chênes dans le sol avant de poser les fondations de la structure. Le bâtiment était stable et ne s’est pas penché pendant des siècles. Lorsque les terres avoisinantes ont été asséchées au 18ème siècle, les chênes se sont asséchés et ont fait basculer la tour.

Dans les années 1970, la structure était tellement compromise que certains craignaient qu'elle ne s'effondre. Le gouvernement a tenté de la démolir, mais les habitants l'ont stoppé. Les habitants entretiennent la tour depuis.

L'église et la tour ne sont plus utilisées pour le culte et ne sont plus que des attractions touristiques. Les visiteurs ne sont pas autorisés à entrer dans l'église ou la tour. Ils ne peuvent pas errer trop près non plus. Une zone de sécurité a été mise en place autour de la tour pour s'assurer qu'elle ne heurte personne si elle tombe.

Chris Engman, évoqué précédemment, est un photographe basé à Los Angeles, que l’on pourrait qualifier de maître de l’illusion. En effet, l’artiste fixe des clichés de paysages naturels à grande échelle tels que des décors champêtres, des déserts ou encore des grottes, sur des murs, plafonds et sols de pièces domestiques.
http://www.fubiz.net/2018/09/28/impressive-photographic-illusions-by-chris-engman/

Elmer Novotny, né le 27 juillet 1909 Cleveland, Ohio, mort le 4 mai 1997 Walnut Creek, CA., est un peintre américain.

Chronique de Yvan Rioufol sur le Figaro ...
Ce n'est plus la dictature du prolétariat qui est au bout des luttes, mais celle des persécutés labellisés.
Le plaintif a toujours raison, pourvu qu'il ne soit pas blanc, judéo-catho, hétéro.

La course à la victimisation infantilise le débat à un degré inédit. La pensée néomarxiste a recyclé la lutte des classes en lutte des minorités. Depuis, cette idéologie ne sait plus quoi inventer pour sublimer la «souffrance» des présumés discriminés, à qui le pouvoir est promis. Chacun réclame, tel un viatique, son statut de mal aimé. Une Française, Hapsatou Sy, est devenue fugacement célèbre après s'être érigée, avec le soutien des médias, en martyre d'Éric Zemmour. Parce que le journaliste lui avait reproché son prénom, les censeurs réclament à nouveau la tête du gêneur.
Pour lire la suite, il faut payer, ils rigolent ? comme s'il y avait besoin.

Aujourd'hui, les seuls qui sont les Justes se sont les minorités ceux qui font des fêtes des fiertés, peignent des escaliers aux couleurs des fiertés de quoi ? fierté des humains à notre époque ? je me demande s'il y a de quoi ! Donc blanche, avec un prénom démodé et hétéro, je dois avoir honte ?

Pendant les enfumages Benalla – faut bien distraire celui qu’on enfile – ce gouvernement à la solde des banques et du patronat flingue la Sécu. Les diverses « droites » ne cachent plus leur volonté de « casser la baraque ». Les réformes à la tronçonneuse qu’ils proposent avec la morgue et l’arrogance qui les caractérisent se résument dans cette phrase de Denis Kessler (ancien numéro deux du patronat, ancien président de la Fédération française des sociétés d’assurance et actuel président de la SCOR, un géant de la réassurance) :

« La liste des réformes ? C’est simple, prenez tout ce qui a été mis en place entre 1944 et 1952, sans exception. Elle est là. Il s’agit aujourd’hui de sortir de 1945, et de défaire méthodiquement le programme du Conseil national de la Résistance ! »

https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/flinguer-la-secu-le-banquier-208059

Bain de fraîcheur dehors quand même !
Beau dimanche !
Le papillon bat des ailes
comme s'il désespérait
de ce monde

Bien sûr le vent était piquant,
mais les oiseaux, dans la véranda semblaient bien heureux !
Belle soirée !
Il est assez curieux qu’en un temps où la première de toutes les urgences écologiques c‘est la décroissance démographique on ne soit occupé qu’à manigancer la fabrication d'enfants là où la nature a la sagesse de n’en prévoir pas.
Renaud Camus

(…) Les pigeons emmenaient le jour dans leurs ailes
et tu allais dormir dans la chambre où peut-être écrivit Breton.
Des années après le jour se lève dans le village où tu habites.
L’amour a dédoré ses ailes d’ange au plafond.
C’est un printemps humide tout imbibé de vert.
Tu te trouves sur la colline, près de la collégiale.
Tu n’écris plus de chansons, tu t’enveloppes d’ombre.
Tu te nourris et te fortifies d’obscurité.
Tu es souterraine et jumelle à la nuit.
Le temps voyage comme une plume sur l’eau noire.
Tu as abandonné bien des choses
et il te reste vivre.
Évelyne Encelot

Les autres mettent des semaines
et des mois pour arriver à aimer,
et à aimer peu,
et il leur faut des entretiens
et des goûts communs
et des cristallisations.

Moi, ce fut le temps d’un battement de paupières.
Dites-moi fou, mais croyez-moi.
Un battement de ses paupières,
et elle me regarda sans me voir,
et ce fut la gloire et le printemps et le soleil et la mer tiède
et sa transparence près du rivage
et ma jeunesse revenue,
et le monde était né.
Albert Cohen