• A chaque drame, une seule et même réponse du ministre en charge de la santé, et ce depuis des décennies, l’aggravation de la tutelle bureaucratique. On meurt aux urgences sur des brancards, on est mal reçu, moqué par les régulateurs du Samu, pas de souci, Mme Buzyn répond avec son éternel sourire qu’elle va certifier les SAMU, avant de recertifier les quelques généralistes qui n’ont pas encore déplaqué. Mais elle fuit les hospitaliers de Mondor à Créteil qui manifestent. Pourquoi n’écoutent-ils jamais ?

    Probablement parce que leurs objectifs sont ailleurs, terminer la casse si bien entamée par leurs prédécesseurs, servis par les mêmes technocrates, obéissant aux mêmes financiers.

    Mayotte en crise de soignants ? Pas de problème, on lui crée une ARS, agence régionale de santé de plus, rien que pour elle ! Pourtant ils n’ont pas besoin ni ne veulent d’administratifs, mais des infirmiers, des médecins, des locaux décents. Fi de tout cela, ils auront des sous pour des bureaucrates. Ensuite on verra ...
    https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/systeme-de-sante-en-urgence-204533

     

    Autrefois nous moquions les communistes et leur système bureaucratique ...

     

     


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  • L’État n’en a rien à foutre des banlieues

    Par Patrick Mignard

     

    Affirmation provocatrice dira-t-on ! Pas aussi simple ! Raisonnons sans a priori. La crise des banlieues ne date pas d’hier… pas plus que d’avant-hier. L’âge de cette crise se mesure en plusieurs décennies. Des quartiers dits « ouvriers » ou « populaires », on est peu à peu passé à la constitution de véritables ghettos dans lesquels s’entassent des populations pauvres, d’origine étrangère, au taux de chômage important et à l’avenir social incertain..

     

    Cette situation, mainte fois dénoncée par les multiples associations qui interviennent dans ces zones n’est évidemment pas inconnue de l’État et des différents gouvernements qui se succèdent depuis des années. Tous les gouvernements, de droite comme de gauche, ont « promis-juré » de « prendre le problème à bras le corps » et d’ « apporter une solution à cette situation ». Des millions de francs, puis d’euros, ont été consacrés aux soi-disant plans « d’urgence » « Mashall »… et autres qualificatifs plus ou moins mégalomanes et fantaisistes. Des politiciens, tels des Don Quichotte, ont été nommés, grassement payés, outrancièrement médiatisés (des noms ?)… « On allait voir ce que l’on allait voir » ! Au final… on n’a rien vu ! Ou plutôt si… on a vu :
    - Une dégradation permanente des situations de ces quartiers.
    - Une ghettoïsation toujours plus poussée au point de faire naître un communautarisme aujourd’hui incontrôlable.
    - Le développement d’économies souterraines fondées sur de multiples trafics…

    L’État, qui n’a rien fait, devant une telle dégradation, ne craint pas d’être ridicule en déplorant l’existence de « zones de non-droit »
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article37957

     

    L'état n'a jamais honte de rien, avec un peuple soumis ...


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  • Mais douceur, chants d'oiseaux ...
    Fenêtres ouvertes ...
    Bien !
    Bonne journée !
    Mon poids est idéal ce matin : j'ai perdu tous mes rêves superflus.
    Touria Uakkas

    Un ciel plus laiteux ce matin ...


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  • Les martinets, plus nombreux, volaient bas ...
    signe d'orage ?
    Bonne soirée !
    Faites que le rêve dévore votre vie afin que la vie ne dévore pas votre rêve.
    Antoine De Saint-Exupéry

    Il faisait chaud en promenant le Bidule ...


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  • Devant la mer ...


    Devant la mer tu redeviens,
    sans fin tu redeviens :
    premier atome des premiers émois, bain dans le cœur absolu,
    bain dans le don déjà liquide des promesses et des baisers.

    Devant la mer tu redeviens un amant du vivant,
     ce bercé d'immortalité,
     de solitude
             et
     de pure inconscience.
     jacquesdor


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  • Collines ....


    Joie des collines d’air pur
    d’ombres vertes sur la terre ronde
    comme une bon pain
    lignes creuses ondulantes …
    à la cime bleue des arbres
    joie des pas sautillant
    dans les sillons fertiles de demain.
    René Char


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  • Ton souvenir est comme un livre ...


    Ton Souvenir est comme un livre bien aimé,
    Qu'on lit sans cesse, et qui jamais n'est refermé,
    Un livre où l'on vit mieux sa vie, et qui vous hante
    D'un rêve nostalgique, où l'âme se tourmente.

    Je voudrais, convoitant l'impossible en mes voeux,
    Enfermer dans un vers l'odeur de tes cheveux ;
    Ciseler avec l'art patient des orfèvres
    Une phrase infléchie au contour de tes lèvres ;
    (…)
    Albert Samain


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  • Si je devais faire le bilan de ma vie, je dirais qu'elle a été globalement heureuse, mais de deux sortes de bonheur ...
    La première partie, la guerre dont on m'a protégée au maximum, l'absence du père, prisonnier, mais ma mère et mes grands parents serrés autour de ma petite personne. L'école, j'aimais apprendre. Le travail, j'ai eu beaucoup de chance, l'amour, le mariage, mère, ce n'est pas mon rôle le plus intéressant, Des amis, des vacances des fêtes, une vie normale avec plus de joies que de peines.

    Puis, vers la cinquantaine tout s'effondre : ma mère d'abord qui meurt brutalement, mon père 5 ans plus tard, un divorce ... Bref 2 choix s'offrent à moi : couler ou devenir enfin moi.
    Je suis partie vivre dans la maison de mon enfance. La solitude, très important.
    J'ai croisé des gens merveilleux, simplement amicaux ou des thérapeutes.
    Le premier livre qui m'a donné à penser autrement, "Ecoute ton corps" de Lise Bourbeau, une Québécoise ...  puis d'autres, dans ce style, ont suivi ... et je sais que ça marche.
    Bon ça marche d'autant plus quand vous êtes en retraite et que les enfants ne vivent plus à la maison. Quand on aime la solitude, la vraie. Je me souviens, au début, j'ai éloigné tout le monde de moi et quand il m'arrivait de passer un moment avec une amie, le soir j'avais mal à la gorge car je n'avais plus l'habitude de la parole.
    Je vous raconte tout ça parce que sur mon quotidien du dimanche, Patrick Clervoy, que je ne connaissais pas, parle de "l'étrange pansement de l'esprit sur la maladie"
    et, au fond, ça confirme ce que j'avais compris de mon livre "écoute ton corps" nous avons tout en nous, ce qui ne veut pas dire que nous avons le pouvoir de l'immortalité de notre corps, mais que nous avons dans notre esprit les meilleures médecines du monde. TOUT EST EN NOUS !!!
    https://www.decitre.fr/livres/les-pouvoirs-de-l-esprit-sur-le-corps-9782738143464.html#resume

     

    Bilan ...


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  • Il est l’un des derniers grands menhirs du Néolitique dréssés de l'  Occident , il  date probablement de la fin du Bronze ancien en Europe Bronze ancien : 1500 av. J.-C. environ.  Comme ceux de l’autre coté de la  Manche de l’enceinte astronomique dont Stonehenge reste le symbole prestigieux. En Europe, les menhirs constituent l'une des formes caractéristiques du mégalithisme au Néolithique jusqu'à la fin du Chalcolithique. Jusqu'à récemment, les menhirs sont associés à la culture campaniforme qui occupait l'Europe à la fin du Néolithique et au début de l'âge du bronze, entre 4500 et 2500 ans avant notre ère. Certains travaux récents sur les mégalithes de Bretagne suggèrent une origine plus ancienne, jusqu'à 6000 ou 7000 ans avant notre ère[ (Le cairn de Barnenez, daté de 4 600 av. J.-C. du début du Néolithique breton, est l'une des plus anciennes tombes monumentales au monde)
    http://an-uhelgoad.franceserv.com/peulven.htm

    Comme beaucoup de ses confrères, l’imagination populaire lui a attribué des pouvoirs de fécondité à partir du XIXème siècle. Les femmes souhaitant avoir un enfant devaient frotter leur ventre nu contre le monolithe et leur désir serait réalisé.
    http://kreizyarcheo.bzh/sites-archeologiques/sites-caracteristiques/menhir-de-kerampeulven

     

    Le grand menhir de kerampeulven ...


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  • Le pont à coquille ...
    Pourquoi cette coquille ?
    Plusieurs hypothèses quant à la présence de cette coquille, qui plus est, sur un seul côté du pont.

    Les trois hypothèses techniques :

        la coquille permet de relier le pont à l'ancienne route « Buoux-Lourmarin » par une courbe serrée, quasiment en angle droit;
        la coquille joue un rôle de contrebutement, elle compense la pression de l'arche;
        l'érosion à cause du cours d'eau était plus prononcée côté coquille, et elle a forcé l'ingéniosité des batisseurs de l'époque pour garantir la bonne stabilité de l'ensemble.

    L'hypothèse du pèlerinage :

    la coquille fait naturellement penser à Saint-Jacques de Compostelle : était-ce un passage du pèlerinage ? Peut être, mais le monument semble manquer d'envergure symbolique pour être affirmatif.
    http://luberon.fr/tourisme/les-sites-touristiques/monuments/annu+pont-a-coquille-a-bonnieux+4031.html

     

    J'ai trouvé un pont rare : le pont à coquille ...


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