J'ai lancé un leurre pour pêcher ta chair
dans tes larmes

J'ai mouché jusqu'à la nuit sur ton ventre rond
sans autre permis que mon statut

Tu t'es prise à ma ligne
Dans un sourire tu t'es laissée mourir
Jean Sioui

    Prenez du soleil, dans le creux des mains,
    Un peu de soleil et partez au loin !
    Partez dans le vent, suivez votre rêve;
    Partez à l'instant, ne regrettez pas
    Ce que vous quittez, regardez, là-bas,
    L'horizon brille, partez en chantant !
    Le monde appartient, a ceux qui n'ont rien.
    Maurice Carême (1899-1978)

L'autre jour, je suis passée quai de le la Fosse et c'était très beau de voir les mats du Bélem et de penser qu'autrefois le port de Nantes claquait de tous ces cordages.
Des hommes étaient dans les vergues et je trouve ce chant pour vous ...
C'est vrai que la mer est en moi même si je ne fus pas marin, j'en ai épousé un qui fut plus de Loire que de mer lol ...
http://musingsofahistorymajor.tumblr.com/post/159433455675/httpstwittercomnorthumbrianastatus8464544746

"Qu'est-ce que j'aime au Mont Athos ? Les gens, pour commencer.
Il y a le paysage, bien sûr, qui est unique. Et les odeurs. Comme l'odeur du réfectoire, dont je me souviens de ma première visite en tant qu'enfant. La formalité me fascine aussi, la façon dont les choses sont faites, la façon dont les moines entrent dans l'église, et comment ils mangent tous ensemble », explique le photographe Stratos Kalafatis, un visiteur régulier de la communauté monastique historique du nord de la Grèce.

"L'endroit a une énergie et vous pouvez le sentir que vous croyiez ou non. Je pense parfois que quiconque se rend au Mont Athos trouvera ce dont il a besoin. Si c'est Dieu que vous cherchez, alors vous le trouverez. "

Kalafatis a trouvé quelque chose de différent : l'inspiration pour un projet artistique ambitieux. À partir de 2008, il a passé cinq ans à photographier le lieu et ses habitants pour «Athos : les couleurs de la foi» présenté à l'époque dans la ville portuaire de Thessalonique, au nord de Thessalonique. livre par Agra.
"Je ne pensais pas que ça me prendrait autant de temps quand j'ai commencé, mais je sentais que j'avais besoin de quelque chose de plus. J'ai passé 200 jours là-bas au cours de 30 voyages », explique Kalafatis. «Je prenais des photos, je rentrais chez moi, je développais les films et je revenais parce que quelque chose m'appelait là-bas.
http://www.stratoskalafatis.com/projects/athos/

Le pont du Diable est un terme désignant plusieurs dizaines d'anciens ponts qui, dans le folklore local, auraient été construits soit par le diable, soit par son aide, ou dans certains cas contre ses désirs.
On trouve les ponts du Diable principalement en Europe. Généralement des ponts en arc datant de l'époque médiévale, ils représentent souvent une réussite technologique significative.

Pont du Diable (Saint-Jean-de-Fos) dans l'Hérault
Que j'ai vu aussi, je crois que j'aime bien le diable des Ponts lol
Le pont du Diable est une construction d'architecture romane située en France, dans la commune de Saint-Jean-de-Fos, dans le département de l'Hérault.

Situé à la fin des gorges de l’Hérault et vieux de plus de mille ans, il attire chaque année de nombreux touristes en été.

À proximité immédiate se trouvent les grottes de Clamouse et Saint-Guilhem-le-Désert, village médiéval classé parmi les plus beaux villages de France1 avec son abbaye de Gellone.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Pont_du_Diable_(Saint-Jean-de-Fos)
https://www.saintguilhem-valleeherault.fr/la-legende-du-pont-du-diable

Quand quelqu'un dit "Bermudes", qu'est-ce qui vous vient à l'esprit ? Pilotes perdus de la Seconde Guerre mondiale ? OVNI ? Passerelles vers d'autres dimensions ? Des disparitions mystérieuses ?
Les Bermudes sont plus qu'un simple triangle éponyme. L'archipel a une histoire intéressante, une culture riche et de nombreux sites magnifiques. Voici quelques-uns des faits les plus intrigants sur les Bermudes.

Aux Bermudes, vous n'êtes jamais loin de la mer ...
Comme mentionné précédemment, les Bermudes sont en fait un archipel, composé de sept îles principales et une multitude de petits îlots. Il a seulement 39 kilomètres de long et une largeur moyenne de 1,6 kilomètre.  Du ciel, ça ressemble à un hameçon. Sur le terrain, vous ne remarquez pas beaucoup les îlots individuels à cause des ponts qui les relient parfaitement ensemble. Vous pouvez voir l'océan de presque n'importe quel point de vue (le point culminant des Bermudes est à seulement 69 mètres au-dessus du niveau de la mer), et pas à plus de 1,6 kilomètre  du bleu profond.

Comme les îles ne comprennent que 54 kilomètres carrés  mais comptent une population d'environ 65 000 habitants, le gouvernement a dû être draconien pour empêcher les embouteillages. Les résidents ne sont autorisés qu'à  une voiture, et les touristes ne peuvent pas en louer, ils doivent utiliser le bus.

Le photographe Martin Peintner, spécialisé dans la conception paysagère et la photographie numérique, a réalisé une série de photographies de paysages intitulée « Dolomites ». On y découvre des panoramas à couper le souffle, des montagnes enneigées ou encore un lac à l’heure du coucher du soleil. Son travail est à découvrir sur Behance et Instagram.
http://www.fubiz.net/2018/04/23/amazing-dolomites-landscapes-pictures/

Michel Giliberti est né en Tunisie en 1950 et s'installe en France en 1961. A l'âge de 12 ans il copie des oeuvres de la Renaissance italienne. A l'âge de 16 ans il entre aux beaux arts de Toulon mais quitte les lieux au bout de quelques mois pour se lancer dans l'écriture musicale. Il enregistre trois albums produits entre 1976 et 1981.
En 1999 il publie un premier roman qui est le prolongement de son œuvre picturale.
Il se passionne également pour la poésie et la musique, deux composantes, pour lui, indissociables de la peinture.
http://michelgiliberti.com/

Par Yann Fiévet

 NDDL, quatre lettres qui résonnent depuis longtemps comme un emblème. L’emblème d’une résistance à la conception d’un monde cruellement dépassé mais auquel les acteurs dominants de l’économie marchande, de la finance omnipotente et de la classe politico-médiatique sans imagination s’accrochent désormais désespérément. L’un des slogans de cette remarquable Résistance était sans ambiguïté : « Non à l’aéroport et à son monde ! ». La lutte des zadistes, en partie victorieuse depuis l’abandon du projet d’aéroport, est maintenant également emblématique de la violence d’État que Monsieur Macron s’échine à incarner fièrement en maints endroits de la vie sociale. Les défenseurs les plus convaincus d’un système ne capitulent jamais sans dommages : lorsque la partie semble leur échapper leur méchanceté foncière, longtemps enfouie sous le couvercle de la bienséance trompeuse, éclate en pleine lumière.
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article37691

La toile de fond de l’affaire nous impose une double critique. La critique de la répression policière – tout comme celle de l’État d’urgence du reste - doit s’accompagner de la nécessaire critique du néolibéralisme économico-financier aux effets anti-sociaux et anti-écologiques de plus en plus sévères. Ne pas affronter cette double critique revient à accepter un monde devenu banalement violent, tragiquement inégalitaire et définitivement sale. Qui sont alors les vrais crasseux ? Ceux qui acceptent sans sourciller ce monde-là et sont prêts à le défendre rageusement ou bien ceux qui sont impatients de le changer et commencent sans attendre La construction d’un autre avenir pour la planète et ses générations futures ? À suivre…