• Il faudrait mettre à la tête de l'Etat des hommes qui aiment le peuple et non pas la finance.

    Il faudrait changer de cap !


    Par Jean-Claude Guillebaud

    Les impasses face auxquelles piétinent le nouvel exécutif redonnent leur pertinence aux intuitions d’Edgar Morin qu’il est toujours bon de le relire.

     Au fond d’eux-mêmes, les citoyens se rendent bien compte que "quelque chose cloche", comme on dit, dans la politique réellement mise en œuvre par le nouveau président de la République. Au-delà des prises de parole souvent remarquables dans la forme, la promesse d’une vision nouvelle n’est pas tenue. Sur le fond, le prétendu "nouveau monde" qui était promis ressemble plutôt à celui de Georges Pompidou. Le langage change, mais pas le contenu. Tout se passe comme si la formidable créativité/inventivité de la société civile (notamment de la jeunesse) avait été laissée délibérément de côté. Cela nous renvoie à la pensée d’Edgar Morin dont j’ai eu la chance d’être l’éditeur et l’ami. Aujourd’hui, je retrouve – intactes ! – les qualités qui m’avaient séduit chez ce "grand frère" de bientôt 97 ans (il est né le 8 juillet 1921) : détestation de l’opposition manichéenne, préférence pour la pensée complexe, esprit de résistance préféré au lâche consentement, refus de réduire la politique à un pédalage fiévreux nez sur le guidon. Quand il lança, en 1997, l’expression "politique de civilisation", c’est déjà à tout cela qu’il pensait.
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article37721

     

    Il faudrait changer d'hommes ...

     


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  • Les nuits sont vraiment froides,
    Mais sous la couette, juste comme il faut ...
    Belle journée !
    Aimer c'est sans doute se montrer nu à l'autre.
    Nu dans sa force…Nu dans sa vérité…Nu dans sa fragilité.
    Jean-Claude Izzo


    Un amour comme du babybel ...

    Le soleil se lèvre comme moi ...

     


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  • mais bien ensoleillé dans l'ensemble ...
    Mon restaurateur a retrouvé le sourire,
    il a plein de gens qui se proposent de l'aider ...
    J'ai quand même acheté à manger lol
    Bonne soirée !
    C'est peut-être cela l'héritage ? cette force de vie ?
    Cette certitude farouche qu'elle s'en sortira toujours ?
    A.L. Bondoux

    Le temps est frais et instable


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  • Vie je te veux ...


    Vie je te veux.
    Je t'ai toujours voulue.
    J'avais pas le mode d'emploi.
    C'est pour ça que j'ai tant attendu.
    Pour te dire combien je t'aime.
    Comme si t'avais toujours eu ta place dans mon horizon.
    Mais comment faire pour t'aimer ?
    Vraiment t'aimer.
    Richard Bohringer


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  • Le train ...


        Le train palpite obstinément
        sur les rails luisants
        fuyant les flancs vert clair de collines
        tachetées d’ombre alternée de nuages,
        fuyant l’écume blanche des vergers,
        de grappes de pommiers et de cerisiers en fleur,
        fuyant les vastes prairies luxuriantes,
        riches de primevères,
        et les pas lourds des chevaux et des corps de laboureurs aux dos cassés,
        fuyant la lueur du ciel dans des flaques et des eaux étincelantes
        le train palpite obstinément
        sur les rails continus
        repoussant la grâce verdoyante
        du vêtement délicat d’avril;
        mes désirs font de même
        ils repoussent ces choses qui sont derrière
        le désir d’horizons.
        John Dos Passos


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  • Le bleu, la mer ...



        La mer sur les mots…
        Ça ne s'écrit pas
        Ça ne se dit pas
        L'instant…
        En suspens
        Ça se cherche
        Ça se pose
        Ça s'arrime
        Ça secoue
        Ça chavire
        Ça fait naufrage
        Vague entremêlée…
        Lente se joue
        Tangue se tutoie
        S'attarde
        Puis, encore
        Suave, une vie
        Ça se goûte
        Se savoure
        Ainsi… ici en abysse
        Comme on donne…
        Un baiser
        Frantz Massouf


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  • A condition de parquer dans le Limousin les monstres qui les battent ... ou les cirques qui les exploitent ...
    Je ne parle pas des touristes qui sont pire que les trois singes ...

    Dans le Limousin à Bussière-Galant, les travaux battent leur plein pour construire le premier sanctuaire pour éléphants d'Europe, Elephant Haven. Imaginée par deux soigneurs animaliers belges, Sofie Goetghebeur et Tony Verhulst, la "maison de retraite" pour pachydermes pourrait recevoir ses premiers pensionnaires d'ici fin 2018. Les éléphants auront bientôt leur havre de paix en Europe. Un petit paradis verdoyant où ils pourront se reposer de leurs années de captivité passées en cirque ou en zoo. Dans le Limousin, à Bussière-Galant, le premier sanctuaire pour éléphants d'Europe est en effet en train de voir le jour sur le terrain d'une ancienne ferme équestre étendue sur 28 hectares.
    http://www.maxisciences.com/elephant-haven/elephant-haven-la-maison-de-retraite-pour-elephants-poursuit-sa-construction-dans-le-limousin_art40655.html

     

    Ils seraient tellement mieux libres dans leur savane ...


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  • Helgoland: l'île allemande que les Britanniques ont essayé de détruire
    par Kaushik

    À la fin de la Seconde Guerre mondiale, l'armée britannique a eu un énorme surplus de munitions et d'explosifs qui ont commencé à leur donner des idées. Il a été suggéré que l'excès de munitions pourrait être utilisé pour des expériences sismiques en mettant en place des explosions contrôlées pour générer des ondes sismiques d'une intensité comparable à celles produites par de petits tremblements de terre. Il était impossible d'effectuer les expériences en Angleterre car une explosion de la taille nécessaire sur les sites disponibles causerait des dommages aux propriétés avoisinantes. Alors ils se sont tournés vers l'Allemagne.

    Les Britanniques venaient de conclure la plus grande guerre de l'histoire de l'humanité avec l'Allemagne, et comme les explosifs, l'agression était encore en quantités excédentaires. En juillet 1946, un dépôt de munitions près de la ville de Soltau, dans le nord de l'Allemagne, a été détruit, produisant des ondes sismiques qui ont été observées à des distances allant jusqu'à 50 km. Mais les Britanniques avaient besoin de quelque chose de plus grand. Ils ont donc commencé à se préparer à l'explosion non nucléaire la plus puissante du monde, qui a fini par être connue sous le nom de «British Bang». La cible: un petit archipel au large des côtes allemandes appelé Heligoland.
    https://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=http://www.amusingplanet.com/2015/06/heligoland-german-island-british-tried.html&prev=search

     

    Heligoland, l'île indestructible ...


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  • Le pont du Diable est un terme désignant plusieurs dizaines d'anciens ponts qui, dans le folklore local, auraient été construits soit par le diable, soit par son aide, ou dans certains cas contre ses désirs.
    On trouve les ponts du Diable principalement en Europe. Généralement des ponts en arc datant de l'époque médiévale, ils représentent souvent une réussite technologique significative.

    Ce pont du diable est situé à Saint-Marcellin-En-Forez, c'est un pont à deux arches du XIVème siècle, d'une portée de 14,40m.

     Il est également connu sous le nom de Pont de Vérines (du nom du lieu-dit de la commune où se trouve le pont), ou autrefois Pont Peyrard, du nom d'un gros propriétaire des environs.

    Si l'on s'en réfère au panneau sur le site, le pont a notamment permis pendant de nombreuses années aux chaufourniers d'y passer avec leurs mulets chargés de chaux.
    http://photos.piganl.net/2013/marcellin/marcellin.php

     

    Quelques ponts du diable ...


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  • Quand quelqu'un dit "Bermudes", qu'est-ce qui vous vient à l'esprit ? Pilotes perdus de la Seconde Guerre mondiale ? OVNI ? Passerelles vers d'autres dimensions ? Des disparitions mystérieuses ?
    Les Bermudes sont plus qu'un simple triangle éponyme. L'archipel a une histoire intéressante, une culture riche et de nombreux sites magnifiques. Voici quelques-uns des faits les plus intrigants sur les Bermudes.

    Les premiers habitants ...
    Comme il n'y avait pas d'autochtones aux Bermudes, l'épave du Sea Venture a marqué le début de la colonisation humaine. Cependant, la plupart des colons sont partis dès qu'ils ont pu bricoler de nouveaux navires. Juste trois sont restés. La fondation des Bermudes est commémorée dans son drapeau, le seul au monde à représenter un navire qui coule.  En 1612, les fondateurs ont été complétés avec une nouvelle population quand un bateau  arrivé avec l'intention expresse d'occuper les Bermudes.

    Au fil du temps, de nouveaux colons ont commencé à affluer, en particulier les Portugais des Açores. Des esclaves africains vinrent aussi (l'esclavage fut interdit en 1833), ainsi qu'un nombre surprenant d'Amérindiens, exilés aux Bermudes ou vendus comme esclaves. Ce mélange de cultures a créé des traditions profondément enracinées, de la troupe de danse Gombeys avec leurs costumes colorés au pain épicé au gingembre, le Dark 'n Stormies (un cocktail de rhum et de gingembre,  un punch épicé) et la morue au petit déjeuner. St. George's demeure la plus ancienne ville anglaise habitée en permanence dans les Amériques. Les Bermudes elles-mêmes sont toujours un territoire britannique d'outre-mer.

    La vie n'était pas facile pour les premiers colons; trouver de l'eau a toujours été un défi. Il n'y a pas de rivières et seulement quelques zones humides et étangs saisonniers. Même aujourd'hui, les Bermudes n'ont pas de système municipal d'eau. Au lieu de cela, ils recueillent l'eau en utilisant les toits blancs spécialement conçus sur leurs maisons, qui canalisent l'eau dans les réservoirs souterrains. S'ils manquent d'eau ou que leur réservoir est contaminé, ils paient lourdement pour apporter de l'eau.

     

    Dans le triangle des Bermudes ...


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