• La «  junk food » perd du poids

    Par J-P Géné

     

    Des géants de l’agroalimentaire en difficulté, des supermarchés boudés par une partie de la population, l’Amérique entamerait-elle sa révolution alimentaire ?

     

     Le taux d’obésité moyen chez les adultes américains est de 34,9 %, et deux tiers (68,5 %) sont en surpoids ou obèses. L’Américain moyen pèse 11 kilos de plus qu’en 1960 (rapport du Trust for America’s Health, septembre 2014). En dépit de tous les efforts et de toutes les campagnes, il ne baisse pas et la disparité entre les Noirs (47,8 %) les Hispaniques (42,5 %) et les Blancs (32,6 %) persiste. À tel point que la Food and Drug Administration (FDA), l’Autorité américaine des médicaments, vient d’autoriser la commercialisation d’un implant électrique agissant sur les nerfs contrôlant l’appétit : le Maestro Rechargeable System. Trop de gras, trop de sucre, trop de sel, trop de soda, trop de produits triturés par l’industrie agroalimentaire, on connaît les causes de cette épidémie, née aux États-Unis et touchant de plus en plus de pays au même rythme que la diffusion de la « junk food made in USA ». Il existe pourtant des raisons d’espérer si l’on consulte les bilans des grandes entreprises de la malbouffe, qui connaissent toutes des difficultés. Kellogg’s, le géant des céréales, a vu ses ventes de morning food chuter de 5,7 % et la baisse de ses activités a entraîné une réduction de la main-d’œuvre de 7 % depuis 2013.
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article28299

    Une espérance folle ...


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  • Après cette si belle semaine j'aurais aimé que ça dure ...
    Il parait que je peux espérer pour la semaine prochaine !
    Patience !
    Votre vision deviendra claire quand vous regarderez dans votre propre cœur.
    Qui regarde dehors rêve, qui regarde à l'intérieur, s'éveille.
    Carl Jung

    Un samedi gris ...


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  • Fini le vent du nord et son anticyclone ...
    L'ouest se réveille avec ses nuages gris !
    Bonne soirée et à demain !
    Je me suis aperçu que, si le travail bien fait est source de joies puissantes,
    la paresse savourée en gourmet ne l'est pas moins.
    Les gens qui ne travaillent pas ne s'ennuient jamais.
    Les gens qui travaillent s'ennuient quand ils ne travaillent pas.
    François Cavanna

    L'Atlantique a repris la main ...

     


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  • Les moulins de Colon et Picon sont une collection de 60 usines situées sur les pentes du Monte Campo do Couto, dans la municipalité espagnole de El Rosal. Ces moulins, construits au cours du 18ème siècle, sont disposés en cascade afin qu'ils puissent partager le même canal d'eau.
    L'énergie fournie par les eaux qui coulaient  en bas de la montagne a été utilisée pour moudre le maïs et le blé, ainsi que pour travailler les draps et la laine. Bien qu'ils ne soient plus opérationnels, ces moulins magnifiquement restaurés, en cascade, constituent un ensemble de grand patrimoine culturel et ethnographique de la région El Rosal.
    http://www.amusingplanet.com/2015/04/the-cascaded-mills-of-folon-and-picon.html

    Moulins comme on n'en fait plus ...

     

     


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  • Les phasmes Achrioptera fallax sont originaires de Madagascar, ils ont une reproduction sexuée. Les femelles commencent à pondre environ un mois après la mue imaginale. La durée de l'incubation est de l'ordre de 3 à 4 mois.
    Au stade adulte, les femelles mesurent de 18 à 23 cm, La couleur dominante est le gris, mais des nuances de bleu, de jaune et de rose sont également visibles sur certaines zones.
    Les mâles sont très beaux. D’une longueur comprise entre 13,5 et 15 cm, leur corps acquiert une coloration bleu métallique dans les deux semaines qui suivent la mue imaginale. La partie interne de leurs pattes porte un liseret orange parfois souligné de rose.
    Tout comme les femelles, les mâles sont munis d’une paire d’élytres ainsi que d’une paire d’ailes rouges qu’ils déploient en signe de menace en émettant une stridulation évoquant un serpent à sonnette.
    La longévité des mâles tout comme celle des femelles adultes est comprise entre trois et quatre mois.

    Le monde des phasmes ...

     


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  • Non loin de la gare Saint Pancras se trouve un joli parc, où se cache une petite église appelé St Pancras Old Church. Comme pour la plupart des églises, il y a souvent un petit cimetière accolé.Donc jusque-là, rien de surprenant pour moi de voir quelques tombes par ici et par là. C’est un arbre centenaire qui attira toute mon attention. Les feuilles commençaient à tomber et les rayons de soleil perçaient à travers les branches. Une petite barrière encerclait l’arbre, comme pour garder un curieux secret. Je m’approcha. Une centaine de pierre tombales faisaient la ronde tout autour. Tout simplement inattendu…
    http://www.happycity-blog.com/2010/10/st-pancras-old-church-londres-insolite.html

    L'arbre du repos ...


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  • "C'est l'histoire d'une femme fuyant des tigres. Elle court, elle court et les tigres se rapprochent de plus en plus. Quand elle arrive au bord d'une falaise, elle voit une treille de vignes, alors elle descend en se tenant à la vigne. Regardant vers le bas, elle voit qu'il ya des tigres en bas aussi. Elle remarque alors qu'une souris ronge la vigne à laquelle elle s'accroche. Elle voit aussi un beau petit bouquet de fraises près d'elle, comme posé sur une touffe d'herbe. Elle lève les yeux et elle regarde vers le bas. Elle regarde la souris. Puis elle prend juste une fraise, le met dans sa bouche, et elle aime bien. Des tigres au-dessus, des tigres en-dessous. C'est en fait la situation difficile que nous vivons entre notre naissance et notre mort. Chaque moment est juste ce qu'il est. Il pourrait être le seul moment de notre vie ; il pourrait être la seule fraise que nous ne mangerons jamais. Nous pouvons être déprimés à ce sujet, ou nous pouvons apprécier le plaisir dans la préciosité de chaque instant de notre vie ".
    Pema Chödrön

    Goûter la vie ...


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  • Les grimpereaux sont de petits oiseaux discrets, assez peu farouches, au plumage brun et blanc, au bec fin légèrement arqué et aux rectrices rigides qui les aident à s’appuyer contre les troncs (comme la Sittelle torchepot). En effet, comme leur nom l’indique, ils grimpent agilement, en "spirale", le long des troncs et des grosses branches, un peu comme des souris, à la recherche d’insectes. Une fois qu’ils ont exploré un arbre, ils s’envolent et gagnent la base d’un autre tronc pour refaire de même. On rencontre en Europe deux espèces très similaires, le Grimpereau des jardins (Certhia brachydactyla) et le Grimpereau des bois (Certhia familiaris), très difficiles à distinguer l’un de l’autre, sauf par la voix : leurs chants sont en effet bien différents.
    http://www.oiseaux.net/dossiers/gilbert.blaising/les.grimpereaux.html

    Des oiseaux si ordinaires mais si originaux ...


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  • L'amour ...

    “L'amour, ce n'est pas une histoire de perfection,
    c'est brut de décoffrage,
    une forme imparfaite boursouflée de scories. […]
    l'amour ce n'est pas a priori,
    c'est live, vivant, immensément présent.
    Ça n'a rien d'une balade romantique,
    c'est offrir et travailler.
    Travailler sur soi, sur l'autre,
    sur l'affrontement de deux mondes
    que le hasard et quelques affinités ont curieusement réunis.
    Offrir et s'offrir, car la quête dans laquelle on est lancé est sans solution.
    L'amour est l'histoire de ce parcours
    qui part d'un mystère pour parvenir,
    une éternité plus tard,
    au même mystère : irrésolu…”
     Yves Simon


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  • Pour ceux, dont je suis, qui ont perdu des êtres chers ...

    « Ne vous tenez pas devant ma tombe en pleurant.
    Je n'y suis pas, je ne dors pas.
    Je souffle dans le ciel tel un millier de vents,
    Je suis l'éclat du diamant sur la neige,
    Je suis la douce pluie d'automne,
    Je suis les champs de blé.
    Je suis le silence du matin,
    Je suis dans la course gracieuse
    Des magnifiques oiseaux qui volent,
    Je suis l'éclat des étoiles dans la nuit.
    Je suis dans chaque fleur qui s’épanouit,
    Je suis dans une pièce tranquille.
    Je suis dans chaque oiseau qui chante,
    Je suis dans chaque belle chose.
    Ne vous tenez pas devant ma tombe en pleurant,
    Je n'y suis pas. Je vis encore. »
    Mary Elizabeth Frye


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