Le tatou à trois bandes est un mammifère d’Amérique du Sud. Il vit dans des habitats très variés : des forêts pluvieuses aux déserts.
    Sa couleur peut varier du brun à l’ocre. Ses pattes avant munies de longues griffes lui permettent de creuser des galeries et d’éventrer fourmilières et termitières afin de se nourrir. La protection du tatou est assurée par une cuirasse formée de bandes de peau ossifiée. Leur nombre est généralement de trois, mais il peut varier de 2 à 4. Seul le tatou à trois bandes est capable de se rouler en une boule parfaite et de demeurer dans cette position aussi longtemps que le danger persiste. Cela lui permet de résister aux nombreux prédateurs : coyotes, cougars, …
    L’odorat est le sens le plus développé chez le tatou. Ainsi, il fouille le sol de son museau à la recherche de nourriture (insectes, invertébrés, fruits tombés au sol,…). La vue et l’ouïe sont relativement peu développées.
    Le tatou à 3 bandes vit généralement seul, même s’il peut leur arriver de se regrouper pendant la période froide.
    Lors de la période de reproduction, le mâle, polygame, s’accouple avec plusieurs femelles. La femelle donne naissance à un seul jeune qui naît après 4 mois de gestation.
    Le tatou à trois bandes peut vivre entre 12 et 15 ans dans la nature et 20 ans en captivité.

Les hommes savent mieux sauver leur peau !
Une équipe de chercheurs suédois de l'université d'Uppsala a analysé le comportement de 15.000 individus lors de 18 naufrages. Elle a conclu que, dans ces situations extrêmes, les chances de survie d'une femme sont de - 20 % plus faibles que celles d'un homme. Sauf quand le capitaine dit "Les femmes et les enfants d'abord !".
L'étude n'explique néanmoins pas pourquoi les hommes sont meilleurs que les femmes dans cet exercice de "chacun pour soi" !!!!!
J'adore la dernière phrase, pleine de subtilités !!!

L'ego est la peur.
Souhaitez-vous haïr un enfant effrayé ?
Alors, pensez à la personne que vous considérez avoir un gros ego et ensuite appliquez cette pensée.

Hélas ! Je ne suis pas de celles
Qu'on fait tourner avec le vent.
S'il faut que je reste pucelle,
Tu seras Jean comme devant,

Comme devant, comme derrière.
Attends-moi couché sur ton lit
Durant que je fais ma prière,
Serrant sur ma gorge trois lys.

Le premier, pour mettre à ta bouche,
Le second, pour mettre à ton coeur,
Le troisième dès qu'on y touche,
Il en jaillit une liqueur.
Liliane Wouters

Notez le chat sur ​​ses genoux.
De l'expéditeur: «J'ai accroché un cintre sur son col pour former les épaules, et le journal fourré dans son pantalon."
J'adore ce genre de photos ... au fond, nous n'avons, parfois ,pas plus d'expression que ce chien ou plutôt l'animal ressemble parfois tant à l'humain

Nous avons visité la Grèce dans les années 1980 ... c'était un peu la porte de l'Orient ... les grandes villes avaient un faux-air des nôtres mais les campagnes, c'était la campagne d'avant guerre. Nous avons croisé dans nos balades les machines à battre le blé avec les courroies, à l'ancienne, les aires de battage des grains ... les ânes n'en parlons pas. J'avais toujours la carte sur les genoux et un certains sens de l'orientation ... Un jour, nous partons un peu à l'aveuglette, au début, je tenais bien mon circuit, puis de routes goudronnées, en routes de terre, en chemins pierreux avec les hautes herbes qui caressaient la carosserie de la voiture, mon mari adorait ... nous étions perdus. Perdus de chez perdus ... mais j'avais à peu près gardé le sens du circuit, donc je guidais toujours et tout à coup, nous tombons sur une femme, plantée au bord du chemin, avec sa quenouille, comme sur la photo, un autre temps. Mais comment lui dire ? le seul mot qui nous venait à la bouche était "macadam" nous voulions retrouver la civilisation, une route normale ... comme chez nous ... elle nous a vaguement fait signe de continuer et nous avons fini par trouver un village qui avait un nom qui figurait sur la carte. 
Un autre jour, nous avons pris un paysan en stop, pas moyen d'échanger, il nous faisait prendre des routes abominables. Arrivés là où il allait, une pauvre cabane, il nous a offert de l'eau fraîche. La barrière de la langue nous a quand même beaucoup gênés dans ce pays.

Lorsque vous reviendrez vers moi
Le temps s'arrêtera.
Entre les pommiers.
les mauvaises herbes auront tant poussé
le jardin sera moins accueillant
Les corbeaux, leurs ailes noires
leurs long cris
en direction de la montagne.
Mais vous allez me prendre dans
vos bras puis
le vif de ma bouche,
la folie de ma langue.

« J’ai parcouru le monde entier en souhaitant atteindre "la paix en partageant un bol de thé".
Si vous prenez un bol de thé vert entre vos mains et le buvez, vous sentirez que vous ne faites plus qu’un avec la nature, et là se trouve la paix.
Si vous offrez un bol de thé à quelqu’un, vous pourrez répandre cette paix. »
Sen Söshitsu, Vie du thé, Esprit du thé

Je n'aime pas le thé Vert, j'ai un faible pour le Thé fumé de Chine.
Je ne le prends pas en vrac, comme une puriste, trop paresseuse, je l'achète en sachet, d'une très bonne marque.
Je n'ai donc pas besoin de théïère ... mais j'avoue j'adore celle dela photo ... une grace ... voir l'eau se teinter ...

Un enfant seul,
Tout seul avec en main
Une belle tranche de pain,
Un enfant seul
Avec un chien
Qui le regarde comme un dieu
Qui tiendrait dans sa main
La clé du paradis des chiens.
Un enfant seul
Qui mord dans sa tranche de pain,
Et que le monde entier
Observe pour le voir donner
Avec simplicité,
Alors qu'il a très faim,
La moitié de son pain
Bien beurré à son chien.

Maurice Carême (1899 - 1978)