Les frontières s'estompent

Comme nous voyageons à travers les années
Le partage des aventures
Le triomphes et les larmes aux catastrophes
Le temps et la distance disparaissent

Le partage de nos histoires
Nos mésaventures et nos peurs
Ces secrets cachés
Qui sont restés à l'intérieur pendant des années
Évadez-vous dans la conversation

Nous étions onze amoureux
Maintenant nous sommes confortables, comme des amis
Chacun sur son propre chemin
Nous avons partagé l'amour
Puis cela s'est terminé

Quand nos corps se sont éloignés tous les deux
jbz

C'est bleu, c'est beau ...
Le couple de plongeurs Eusebio et Christina Saeyns de Santamaria, aussi connu sous le nom de  One Ocean One Breath, nous propose de superbes images aquatiques. Avec des clichés pris aux 4 coins du monde permettant de s’évader, voici une sélection à découvrir dans la suite de l’article.

Quand on parle dessous, on pense féminins ... mais non, mais non ... l'homme a aussi ses mystères et tricheries ...
En environ 200 pièces, le  musée se penche sur la métamorphose du corps pour s'adapter aux diktats de la mode. La silhouette la plus ancienne date de 1370: c'est un pourpoint, "le vêtement masculin par excellence", explique le commissaire de l'exposition Denis Bruna. Il s'agit de rembourrer le torse, pour donner une impression de puissance.
Deux siècles plus tard, les hommes privilégient les culottes à braguette. Il ne s'agit pas de zip, car celui-ci arrivera bien plus tard, mais d'une coque qui reproduit le sexe en érection. "Plus on était puissant, plus il fallait une braguette importante", dit Denis Bruna. La forme du pénis apparaît même sur des armures. 
Au 19e siècle, la virilité des hommes s'exprimera dans des mollets gonflés par des bas rembourrés. "Ce n'est qu'à partir des années 50 que les épaules larges ont été un symbole de virilité", selon le commissaire. 

Bon, il va falloir que les gondoliers mettent de l'eau dans leur vin.
Il paraîtrait que sur les eaux calmes de la lagune, il se passe des choses pas très catholiques : le gondolier boit de plus en plus ... et ça provoque des situations dont la sérénissime se passerait bien.
Il y a eu la vidéo du bizutage d'un gondolier plongé nu dans les eaux du canal ...
Il va falloir organiser des contôles d'alcoolémie sur l'eau ... un comble !

Dès la première case de l' album, l'un des protagonistes s'interroge : « Qu'est-ce qui pue comme ça ? » ; la réponse est sans appel : « L'algue verte ». Les éleveurs de porc apparaissent butés : « Vous êtes équipés d'une station d'épuration ? », interroge une journaliste. « C'est trop cher. Avec la baisse des cours, on n'y arrive pas », rétorque son interlocuteur, bras croisés, casquette vissée sur le crâne. Les gendarmes ont la gâchette facile. Les danseurs folkloriques - pardon, de Cercle celtique ! - sont gentiment brocardés. Quant aux pêcheurs, ils apparaissent un peu rustres, avec un beau spécimen de rebelle, épris de liberté et de boisson alcoolisée. Pétillon réserve ses flèches les plus acérées à ces Parisiens qui débarquent en terrain conquis, dans leurs riches propriétés.
Non, ce n'est pas la forêt amazonienne ... mais l'algue verte bretonne !

Tourteau, araignée de mer, étrille, etc. : si les crabes sont un mets que beaucoup apprécient, l’incroyable diversité de ces animaux aux formes, aux couleurs et aux modes de vie étonnants reste méconnue. Catherine Vadon, fascinée de longue date par ces crustacés, raconte dans ce livre 101 histoires de crabes : des histoires de biodiversité, d’exploration des mondes marins, de pêches, de légendes, etc. Chaque histoire est illustrée de magnifiques photos ou planches anciennes.
Traqués, pêchés, mangés, les crabes sont une importante source de nourriture pour des millions d’humains. Mais sait-on qu’il existe 7 000 espèces différentes dans le monde, mesurant de quelques millimètres à près de 4 mètres d’envergure ? Que les crabes occupent des milieux aussi divers que les abysses, les récifs coralliens ou les montagnes ? Qu’ils vivent aussi bien en eau de mer ou en eau douce, qu’au fond des cavernes ou au sommet des arbres ?

Par Anaïs Fourest

Les vertus médicinales des  plantes utilisées en médecine traditionnelle chinoise sont de plus en plus reconnues. Alors en les consommant on ne s’attend pas à ingérer un cocktail de pesticides ! C’est pourtant le résultat d’une enquête menée par Greenpeace (Asie du Sud-Est) en Chine et dans 7 autres pays du monde, dont la France. Cette enquête de Greenpeace révèle une situation absurde… devenue ordinaire !

Se réveiller en un tel état de beauté du temp, de la nature ... quel bonheur !

J'aime la poignée de la terre que vous êtes.
En raison de ses vastes prairies, comme une planète.
Je n'ai pas d'autre étoile.
Vous êtes ma réplique
de l'univers multiplié.
Pablo Neruda

Plus il faisait beau ...

L'obscurité ne peut pas chasser l'obscurité : seule la lumière peut faire cela.
La haine ne peut pas chasser la haine : seul l'amour peut faire cela.
M.L.King

A l'île de Ré, pour les protéger, on culottait les ânes, disons que c'est devenu folklorique, ce n'est plus pour protéger les ânes qu'on les culotte c'est pour attirer le chaland.

J'adore les animaux, ça frise même parfois la sensiblerie, mais je les respecte aussi.
Quand je me promène sur des blogs, je croise des vidéos d'animaux domestiqués très drôles, mais quand on pense à la somme d'emmerdements qu'il a fallu faire porter à ces pauvres bêtes ... est-ce vraiment nécessaire ? Tant de photos ou de vidéos ... naturelles ... sont si émouvantes ou drôles ...

Pov bête !!!