Les escaliers sont des constructions destinées à combler de grandes distances verticales en le divisant en petites distances verticales, appelées étapes. Les gens évitent souvent les escaliers parce qu'ils sont ennuyeux et fatigants surtout, et choisissent souvent de monter des ascenseurs, quand il y en a.
Certains escaliers, dans le monde, sont de conception extraordinaire, ont des vues incroyables sur les terrains environnants et attirent les touristes et visiteurs locaux, pour les escalader, aussi commeune victoire sur eux-mêmes.

Tout ce que nous laissons si lâchement et si bêtement derrière nous ... un artiste en a tiré des constructions ...
La dernière oeuvre de Jeremy Underwood est une réflexion sur le rapport entre culture et nature. « Human Debris » est une réappropriation des traces que nous laissons sur notre environnement, l’artiste fait des déchets un constituant du paysage à part entière. Une véritable invitation à méditer à découvrir en images.

Le jardin respire ... bon parait que demain ce sera bien ...

Au-delà des idées, des actes répréhensibles et de la rectitude,
il y a un champ.
Je vais vous y rencontrer.
Quand l'âme se couche dans cette herbe,
le monde est trop plein pour parler.
Les idées, même les phrases de l'autre
n'ont plus de sens.
Rumi

Je construis mon arche ... C'est ââffreux ce qu'il tombe.
Bon, j'ai dû arroser avant-hier soir ... là, pas la peine ...

Moins de crainte, espèrer plus.
Manger moins, mâcher plus.
Pleurnicher moins, respirer plus.
Parler moins, dire plus.
Moins de haine, plus d'amour ...
et toutes les bonnes choses sont à vous.
Proverbe suédois

Des plâtres imprimés en 3D pour des os fracturés pourraient remplacer le plâtre si encombrant d'habitude, les démangeaisons et les mauvaises odeurs par cette "gaine" en fibre de verre dans ce projet conceptuel.
Un patient aurait l'os radiographié et l'extérieur de la branche 3D-balayée. Des lLogiciels pourraient alors déterminer la forme optimale sur mesure, avec le soutien plus dense concentré autour de la fracture elle-même.
Projet de Jake Evill, qui est tout juste diplômé de l'Architecture et du Design professeur à l'Université Victoria de Wellington, avec une majeure en Media Design et une mineure en design industriel.

Cet archipel perdu aux confins de l’atlantique sud dont les plus proches voisins sont l’île de Sainte Hélène et la ville du Cap en Afrique du Sud (bon à 2300 kms pour l’une et 2700 kms pour l’autre quand même…), est composé de quatre îlots :  Tristan elle-même, Gough, Inaccessible et Nightingale. Le climat, bien que rude puisque soumis aux dernières attaques des 40èmes rugissants, tous proches, y est de type océanique tempéré.
La principale île et la seule habitée toute l’année est Tristan. Sa superficie est d’environ 98 km² dont la plus grande partie est occupée par le volcan qui en occupe le centre. Le seul endroit habitable est un petit plateau situé au pied du volcan sur lequel se situe Edimbourg des Sept mers (Edinburgh of the Seven Seas, in english dans le texte, c’est-y pas joli comme petit nom ?), l’unique ville de l’archipel connue localement comme « The settlement » (la colonie).
Sur cette île,jusqu'à la seconde guerre mondiale, on pouvait payer en pommes de terre !!!

Le Monkey Light est un système d'éclairage révolutionnaire qui vous rend visible et unique. Son design solide et fiable en font un accessoire original pour les cyclistes urbains et les cyclistes nocturnes occasionnels : pour tous ceux qui veulent être visibles la nuit à vélo pour leur sécurité en se démarquant du cycliste conventionnel.
L'éclairage Monkey Light conçu par Monkeylectric crée des graphismes hauts en couleurs sur les rayons de la roue du vélo, et permet d'être visible de loin grâce à un très grand angle de visibilité. Les effets graphiques et les couleurs peuvent être personnalisés très simplement pour s'accorder à toutes les envies, sages ou extrêmes. Le Monkey Light propose 42 visuels différents sélectionnables. Ces visuels sont créés par 32 LEDs ultra lumineuses qui permettent d'afficher 32 couleurs. Les graphismes s'affichent correctement à partir d'une vitesse de 15 km/h, et jusqu'à une vitesse de 65 km/h.
Pour que le Monkey Light puisse s'adapter à toutes les situations d'éclairage, et aussi dans le but d'économiser les piles, il propose deux niveaux d'intensité d'éclairage.

Il était une fois une cimenterie dans la région de Barcelone ...
Abandonnée puis découverte par Ricardo Bofil qui en a fait sa résidence principale ...

Je suis fille de couturière, à une époque où nylon, et autres tissus synthétiques étaient des mots qui n'existaient pas, on parlait coton, popeline, soie, moire ... souvent des noms originaires de pays lointains qui ne faisaient que travailler notre imaginaire.

J'ai croisé cette photo et ce qu'elle porte sur elle m'a semblé si travaillé et vaporeux que j'ai pensé à l'organdi. Petite j'avais une robe d'un joli bleu lavande avec de miniscules fleurs blanches ... c'est drôle comme on n'oublie pas la beauté, la sensation de ces tissus magiques !
L'organdi est une mousseline de coton légère et apprêtée, sans doute originaire de Kounya-Ourguentch (l'ancienne Ourguentch ou Ourganda, ville de négoce entre Arabes et Chinois) au Turkménistan.
L'organdi et l'organza
En vogue à partir du XVIIIe siècle, ces tissus sont importés des Indes. Ensuite, ils se produisent en France dans les mêmes fabriques que la mousseline. L'organdi et l'organza sont deux étoffes similaires. Leur dénomination diffère selon les fils employés pour le tissage. Proches de la mousseline, ils se distinguent par leur aspect rigide. L'organdi et l'organza servent dans l'ameublement pour les voilages, dans l'habillement pour les garnitures de corsages, les robes de soirée. L'organdi n'est plus utilisé dans les costumes de danse car il est fragile et cassant. L'organza est par contre toujours employé pour les tutus romantiques.

Mon père a été fait prisonnier à Dunkerque par les Allemands. En Allemagne, il a travaillé une période dans des fermes, puis après dans des usines ... Quand les Russes ont avancé en Allemagne, il se trouvait dans la région où les orgues de Staline pilonnaient sans arrêt. Les Russes les ont pris, peut-on dire fait prisonnier ? mais à partir de ce moment-là, ils ont été bien traités, dans la mesure où la Russie manquait aussi de beaucoup de choses. Il a été parmi les prisonniers les derniers renvoyés chez eux et pas par le chemin le plus court puisqu'il est passé par le pays du soleil de minuit ... l'a-t-il vu ? je ne m'en souviens plus. J'ai toujours un petit carnet de photos achetées là-bas, mais en noir et blanc c'est difficile de rêver ...