• «En identifiant la lutte des travailleurs pour la justice sociale avec le régime soviétique, Forbes suppose que les droits des travailleurs n’ont aucune légitimité dans le contrat social, à moins que la structure institutionnelle néolibérale ne l’emporte autrement. Dans un monde où la pathologie narcissique de «selfie» est exprimée de manière poignante comme une manifestation de la façon dont la culture hégémonique a triomphé de l'humanité, les valeurs humaines collectivistes sont contraires au statu quo néolibéral. La culture dominante endoctrine l'individu à la préoccupation de soi et au rejet de la communauté réelle au profit de la communauté virtuelle où le soi est lui-même une marchandise et où les traits misanthropes sont cultivés par inadvertance par la structure institutionnelle qui façonne l'identité autour des biens matériels comme conduisant au bonheur. . En dépit de la négligence généralisée, des abus et de l’exploitation financière des personnes âgées dans des maisons de retraite médicalisées ; et malgré le fait que les enfants peu instruits sont une réalité crue, alors que le fossé entre riches et pauvres et la pauvreté augmentent au milieu d’une économie en croissance, la culture dominante incite indéfiniment l’individu à rejeter le bien-être de l’humanité et à ne se concentrer que sur lui-même et la réalité virtuelle de la société. Un monde banalisé. "
    Je n'ai pas le nom de l'auteur.

     

    Le Peuple veut la justice sociale ...


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  • Pour beaucoup d'entre nous, la question de ce qui nous arrive après notre mort est une question spirituelle complexe concernant l'état éternel de nos âmes. Mais la question la plus immédiate et la plus tangible est : Où vont nos corps une fois que nous n’en avons plus besoin ?
    La réponse était évidente : les cimetières. Pour les habitants des grandes métropoles, cette option s'épuise rapidement. Le nombre limité de tombes souterraines devient rapidement un problème international, pour lequel de nombreuses villes ont dû trouver des solutions créatives et préventives.

    Venise ...

    Étonnamment peut-être, cette ville lagunaire de renommée mondiale, connue pour ses promenades en gondole et ses ponts épiques, est un lieu de repos populaire pour les résidents et les touristes. On pourrait se demander comment une ville connue pour ses voies navigables pourrait-elle accueillir un cimetière ?

    En 1837, l’île de San Michele, située au large de la côte nord-est de Venise, a été décrétée comme le seul espace vénitien où les sépultures étaient autorisées. Cependant, le cimetière de San Michele Island mesure moins de 2,6 kilomètres carrés (1 mi2) et ne peut accueillir qu'un nombre très limité de sépultures.

    En tant que tel, le cimetière n’est traditionnellement utilisé que comme lieu de repos temporaire. Après 12 ans, les corps sont exhumés et incinérés ou placés dans un ossuaire dans les limites de la ville de Venise.

    Au cours des dernières années, le conseil municipal de Venise a adopté une loi autorisant les personnes à affréter un bateau à 700 mètres du rivage afin de disperser les cendres de leurs proches. Pour les personnes souhaitant éparpiller les cendres sur le sol, la ville a également prévu un petit jardin sur San Michele où cela est sanctionné.

     

    Les cimetières de demain ...


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  • « J’ai envisagé cette nouvelle série de photographie d’architecture comme des portraits de certains ouvrages connus ou méconnus à Paris et en Ile de France », révèle Jérôme Epaillard. Aux côtés de son acolyte de toujours Thérésa Machado, le photographe offre cette série unique nommée « Oracles ». Des clichés qui révèlent la beauté brute d’œuvres architecturales Parisiennes. « Par un jeu de contraste et de lumière, l’ouvrage est placé au centre de l’image en se concentrant sur son esthétisme, ses courbes et sa présence, tout en l’isolant de son environneeeement. C’est une vision personnelle, assez esthétisante et avant tout, un hommage à la créativité des architectes ».
    http://www.fubiz.net/2019/05/01/stunning-architecture-by-jerome-epaillard-and-theresa-machado/

    Mon amour de l'architecture s'est arrêté avant la dernière guerre.  L'art déco ...


    Architecture contemporaine ...


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  • Brett Bigbee
    Né en 1954 à Jacksonville, en Caroline du Nord.
    Éducation   1981-1985: Académie des beaux-arts de Pennsylvanie, Philadelphie.
    https://www.artsy.net/show/alexandre-gallery-brett-bigbee-new-paintings

    Le monde de Brett ...

     


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  • On n’a pas oublié la surprenante déclaration de Sibeth Ndiaye, nouvelle porte-parole du gouvernement, pour qui le recours au mensonge n’est pas un problème, quand il s’agit de défendre son président.

    En effet, Sibeth Ndiaye, même si elle tente maintenant une jolie volte-face, en utilisant l’argument habituel des « paroles sorties de leur contexte » a pourtant bel et bien déclaré : « j’assume parfaitement de mentir pour protéger mon président ». lien

    Normal dès lors, que, dès 2015, le politologue Thomas Guénolé, ait décidé de créer le prix du meilleur menteur en politique.

    Le palmarès 2016 etait riche : de Robert Ménard, classé N°1, à Donald Trump, en passant par Manuel Valls, Nicolas Sarkösi, Christian Estrosi, François Fillon, Maud Fontenoy, Jean-Pierre Chevènement, Nicolas Bay, Florian Philippot...

    Ce dernier, quant à lui a accumulé les contre-vérités, « la France n’a plus les moyens d’expulser les étrangers délinquants de son territoire...les sans-papiers ne disposent d’aucun droit d’après la loi... »... etc. lien

    Il n’en est pas resté là, et a continué ses dérives.

    La liste de 9 de ses mensonges est sur ce lien, et si ce constat date de 2013, il perdure aujourd’hui... avec une possible tendance exponentielle.

    Maud Fontenoy, se faisant passer pour une écolo, affirmait droite dans ses bottes que «  12000 chercheurs s’étaient exilés aux Etats-Unis, car la France ne leur permettait pas de faire des recherches sur l’extraction non polluante du gaz de schiste ». lien

    Estrosi pour sa part avait affirmé qu’il était à l’origine des portiques de sécurité Gare St Charles, afin de protéger les voyageurs contre des risques d’attentat...joli mensonge, car en réalité, c’est la SNCF qui avait commandé ces portiques destinés à contrôler les billets. lien

    Fillon pour sa part, a obtenu le prix du meilleur retournement de veste pour avoir mis dans son programme la privatisation de l’assurance maladie, (lien), puis déclaré le contraire, une fois nommé candidat de la droite. lien

    Le détail des autres mensonges pointés et la liste des coupables est sur ce lien.

    Ce palmarès date de 2017 et il peut être avantageusement prolongé.

    Quid de Jérôme Cahuzac ?

    « Je n’ai pas, Mr le député, de compte à l’étranger », déclarait celui qui était censé traquer les exilés fiscaux, devant les députés de l’assemblée nationale. lien

    Quid de  Jacques Chirac, qualifié de « super-menteur »... ?
    https://www.agoravox.fr/actualites/citoyennete/article/le-mensonge-en-politique-214717

     

    Mensonges d'état ...


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  • Derrière le contre-feu de la Salpêtrière, silence sur la répression ultra-violente du préfet Lallement

    Par Pablo Morao

    Alors que la Pitié-Salpêtrière fait la une des médias qui félicitent par ailleurs le maintien de l’ordre, l’immense violence qui s’est abattue sur les manifestants le 1er mai a été totalement passée sous silence.

     L’affaire était entendue depuis une semaine : le 1er mai constituait pour le préfet Didier Lallement un véritable test, une mise à l’épreuve de la nouvelle doctrine du maintien de l’ordre que celui-ci a instauré et dont la violence avait été constatée par les manifestants à l’occasion de l’Acte XXIII. [Le Parisien rapportait ainsi lundi les propos de Marc, coordinateur d’une équipe de street-medics : « Lors de l’Acte XXIII il y a deux semaines, près de 152 blessés ont été comptabilisés, dont une dizaine de journalistes, Plus ça va, et plus cela ressemble à un champ de guerre. La violence appelle la violence. » Cette doctrine offensive, incarnée par les fameuses Brigades de Répression de l’Action Violente, repérables à leurs casques blancs, consiste à « aller au contact », afin soi-disant de « prévenir » toute action violente. « Il n’était plus possible de maintenir ce no man’s land entre casseurs et forces de l’ordre qui caractérisait la doctrine française de maintien de l’ordre. Nous agissons maintenant au moment de la formation du bloc. » expliquait ainsi au Parisien un responsable CRS du syndicat Unité-SGP-Police.
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article41145

     

    Pour ce qui est du fascisme, nous n'aurons pas attendu l'arrivée au pouvoir du F.N. ...


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  • Don un temps à surprise ...
    Soleil timide quand même !
    Belle journée !
    Il est de bonne stratégie de laisser le dernier mot à nos ennemis et contradicteurs.
    Ils vivront dès lors dans l’attente anxieuse et la hantise de notre répartie qui ne vient pas.
    Un enfer pour leurs nerfs et bientôt la folie.

    Éric Chevillard

    Toujours un ciel de mars ...


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  • Mais il ne fait pas froid ...
    Il y a les fleurs ...
    Le gouvernement qui nous ment
    Rien de changé quoi !
    Bonne soirée !
    Ayant appris la vie dans les livres,
    je n’ai pu que constater ensuite combien la réalité était bourrée d’erreurs grossières.
    Eric Chevillard

    Le temps est très moyen ...


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  • La douleur ...


    La douleur fait partie de la vie.
    Parfois, c’est une trop grande partie,
    mais ce n’est pas toujours le cas,
    mais dans les deux cas,
    cela fait partie du grand puzzle,
    de la musique profonde, du grand jeu.
    La douleur fait deux choses : elle vous apprend,
    vous dit que vous êtes en vie.
    Ensuite, cela passe et vous change,
    cela vous laisse parfois plus sage.
    Parfois, cela vous rend plus fort.
    Quoi qu'il en soit,
    la douleur laisse des traces
    et tout ce qui est important pour vous dans la vie
    et va l'impliquer dans un degré ou un autre.
    Jim Butcher


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  • Mon Père ...


    J’ai repensé à cette question qui m’avait obsédée,
    sans pouvoir jamais la poser à voix haute :
    Comment ça marche, un père ?
    Alors, les pièces se sont animées.
    Une silhouette bougeait au centre de l’image.
    Il était là, ce papa compliqué, et il marchait comme marchent les hommes, sur ses deux pieds.
    Il se retournait et je pouvais le reconnaître, comme un père reconnaît ses enfants.
    Reconnaître non seulement sa démarche, mais aussi,
    et dans un même mouvement de tendresse,
    reconnaître son visage, ses traits, ses expressions.
    Son front haut. Ses yeux verts. La courbe parfaite de ses sourcils.
    Je pouvais les voir, les imaginer.
    Et pour la première fois depuis longtemps, je me suis sentie apaisée,
    comme si le monde enfin marquait une pause.
    Marie Nimier


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