Le Clypeaster Subdepressus……
Pensée des mers, monnaie des sables, sand dollar, dollar des sables...
Cette petite créature mystérieuse, chère aux amoureux des plages mérite une attention particulière.
C’est un membre très fragile de la famille des échinodermes ( oursins, étoiles  de mer…) avec une coquille aplatie et circulaire , ornée d’une étoile et de trous disposés en rayons.
Vivant, son corps est recouvert de fines et courtes épines mobiles, comme un duvet, qui lui donne une couleur gris pourpre et permettent à l’animal de s’enfouir sous le sable.
C’est un être paisible et inoffensif.
Les coquilles mortes dérivent vers les plages où le soleil les blanchit.
Le dollar des sables tient son nom du terme anglais "Sand Dollar", à cause de sa ressemblance avec une vieille pièce de monnaie gisant sur les fonds.
Il est présent dans de nombreuses zones côtières, principalement dans les mers chaudes. Il en existe plusieurs espèces dont la forme diffère selon le milieu aquatique où il se développe.
L’attrait visuel qui se dégage de ce petit joyau tient à sa géométrie radiale qui en fait une des formes les plus parfaite de la nature.
C’est un véritable pentacle naturel qui contient dans sa structure et ses dessins, les règles du nombre d’Or et de la divine proportion ; des symboles ésotériques dignes de toutes les interprètations.
L’étoile à cinq branches se dessine en son centre et il est « martelé » de petits pentagones disposés en parfaite symétrie sur toute sa surface
Une légende chrétienne attribue à cette coquille de renfermer la vie et la mort du Christ…A vous de juger !
« D’un côté, l’étoile qui guida les Rois mages vers la crèche,
Les  quatre trous de la crucifixion et le cinquième, celui de la lance    romaine qui donna la mort.
Sur la face arrière, le dessin des pétales de la poinsettia d’hiver qui ne fleurit qu’à Noël.
Lorsqu’on casse le dollar comme une  hostie, il libère cinq petits éléments calcaires qui ressemblent étrangement à des oiseaux blancs aux ailes déployées ; Les colombes du Saint Esprit… la Résurrection «

Je tombe sur cette image "jardin en lasagne" je me suis dit quelle est cette nouvelle façon de cultiver un jardin en courbes alors que je n'ai jamais connu que des carrés carrés, ou rectangulaires avec des sillon en lignes droites.
Je vais donc offrir cet escargot à mes amis d'un forum de jardinage.
On me répond que la culture en lasagne existe depuis fort longtemps mais pourquoi cette image ?
Je repars chez mon ami google et je pose la question ... et je tombe des nues ... j'aurais dû y penser, la lasagne c'est un plant en couches, donc la culture en lasagne c'est une culture qu'on installe par couches successives ...
Voulez-vous goûter à mes lasagnes ?

Tes paroles ont des musiques cristallines.
Rien qu'à les écouter, que de fois j'ai joui !
Je pâme, les yeux clos, et presque évanoui,
Quand, pour me parler bas, dans le cou, tu t'inclines.

Ce n'est pas de ton souffle embaumant les pralines
Que je me grise alors ; c'est du ton inouï
Que tu mets dans un mot quelconque un simple oui.
Ta bouche a des façons de prononcer câlines.

Voilà ce qui me fait tous les sens engourdis.
Je t'écoute, mais sans savoir ce que tu dis,
Comme si tu parlais une langue inconnue ;

Je me laisse couler dans l'extase ; et je sens
Une invisible main passer sur ma peau nue,
Car tes paroles mêmes ont des doigts caressants.
Jean Richepin

Je vais vous ouvrir
pétale après pétale
prenant tout mon temps.
Je vais construire avec vous un feu lent
et regarder la couleur de votre lever du soleil.
Je vais jouer avec le vent avec vous,
couvrir votre corps avec des sourires et des jeux,
que les promesses et les fantasmes disparaissent
sans laisser de trace.
Je vais réveiller votre âme secrète,
Infusion de potions et incantations de sorcières
et vous sentir mijoter, en roulant
flottant dans ma main.
Je vais vous remplir lentement,
chaque crevasse et courbes,
Vous sentir,  entendre,  goûter
de plus en plus en votre entier.
David Steinberg

 Lalla Essaydi A. a grandi au Maroc et vit maintenant aux Etats-Unis où elle a obtenu sa maîtrise à l'École du Musée des Beaux-Arts / Tufts University en mai 2003.   Son art, qui combine souvent calligraphie islamique avec les représentations du corps féminin, traite de la réalité complexe de l'identité féminine arabe à partir de la perspective unique de l'expérience personnelle. Dans une grande partie de son travail, elle retourne dans sa jeunesse marocaine, en regardant en arrière sur elle comme une femme adulte a attrapé quelque part entre le passé et le présent, et en tant qu'artiste, en explorant la langue dans laquelle «parler» de cet espace incertain. Ses peintures, souvent l'imagerie orientaliste approprié dans la tradition de la peinture occidentale, invitant ainsi les spectateurs à reconsidérer la mythologie orientaliste. Elle a travaillé dans de nombreux médias, y compris la peinture, la vidéo, le cinéma, l'installation et la photographie argentique.
«Dans mon art, je tiens à me présenter à travers des lentilles multiples - en tant qu'artiste, en tant que marocain, comme traditionaliste, comme libéral, comme musulman Bref, j'invite les spectateurs à résister aux stéréotypes.».

Si vous vous trouvez dans une barque sur ​​un marécage en Zambie occidentale, en Angola ou en République démocratique du Congo, il pourrait être sage de garder un oeil sur le ciel. Selon certains récits, le Kongamato, dont le nom signifie «briseur de bateaux», peuvent descendre du ciel à n'importe quel moment. Il  est dit qu'il mange de la chairhumaine  en décomposition et qu'il pille les tombes. Cette créature redoutable a attiré l'attention en 1923, dans livre de l'explorateur Frank Melland. Les membres de la tribu Kaonde le décrivent comme énorme, rouge et ressemblant à un lézard, avec des ailes de cuir et un bec rempli de dents.
En 1956, un autre témoin, un ingénieur du nom JPF Brown, aurait vu deux de ces créatures à Fort Rosebery, en Zambie qui semblaient préhistoriques, avec une envergure pouvant aller jusqu'à trois pieds et demi de la  tête, à la queues longue et étroite. L'année suivante, un patient de l'hôpital de Fort Rosebery,  a affirmé qu'il avait subi une blessure profonde après une attaque d'une créature qui ressemblait à un ptérosaure.
A en juger par les descriptions physiques déterminées, il ne semble pas y avoir de similitudes entre le Kongamato et les dinosaures volants connus comme les ptérosaures. En fait, il y a certaines personnes qui croient que le cryptid  peut être attribué à une poche survivante de ptérosaures.

Stéphanie Radenac nous fera toujours sourire avec ses jeux de mots poétiques à tire-larigot. Son dernier oreiller « magique », comme elle l’appelle, est fait pour rêver seul (oreiller fermé) ou à deux (oreiller ouvert). Les deux taies d’oreillers sont reliées par une bande brodée « est-ce que tu dors? » en blanc phosphorescent ou orange fluorescent. Un bel appel au partage des rêves…
D'accord,je sais, ce n'est pas la Saint-Valentin, mais la Fête des Mères, mais il faut bien commencer par quelque chose et puis derrière chaque mère, il y a toujours une amoureuse ...

Thés pour Maman, pour son amoureux ou pour ses copines, on dégaine d’un geste presque magique, les sachets de thés handmade d’Elodie Fagot Canhamello. Thé Vert Jasmin Kusmi, Fleur de Geisha ou Rooibos Verveine, la lyonnaise brode chaque tea bag avec amour en forme de coeur, de nuage, de body ou de lapin… juste pour le plaisir de la dégustation. Une idée de cadeau poétique pour sa Mamounette !

Petit déjeuner au lit

Une approche silencieuse
Elle reste endormie dans son lit
Je l'embrasse doucement
Je me dépêche dans les escaliers
Et je commence la préparation du café

Je l'entends s' agitant
Retour avec du café chaud
Elle boit soigneusement des petites gorgées
Puis elle me tire vers le lit
Et me propose un vrai petit déjeuner

…Il ne restait de ce pays que son langage. Un beau langage qui servait à tout. Vous savez, comme on a chez soi une chose précieuse qui est là depuis si longtemps qu’on en use à n’importe quoi (...) Qui donc se souciait que ce fût un pays, ce pays, (...) un grand progrès sur les ténèbres, un grand progrès sur le néant. (Louis Aragon)