• Ma déclaration à Assa T : j’en ai marre des gens comme vous

    Très Chère Assa T.,

    Le modeste « mâle blanc » que je suis tient aujourd’hui à vous remercier : vous m’avez ENFIN guéri d’un épouvantable complexe racial. J’étais un vulgaire « souchien », une « face de craie », un « Gaulois » traumatisé par sa couleur de peau et le poids – énorme et insupportable si j’en crois Emmanuel Macron – du passé colonial et esclavagiste du pays qui l’a vu naître.

    Le célèbre texte de Montesquieu en entête de ma lettre n’est en rien une provocation.

    L’auteur de « L’Esprit des lois » est passé à la postérité avec une solide réputation anti-esclavagiste. Aux côtés de Voltaire et Rousseau, il est au panthéon de l’humanisme maçonnique. Cette grande figure des Lumières était un esprit libre, et il le démontre en pourfendant « l’esclavage des nègres », et en renvoyant  le racisme à son absurdité inhumaine.

    Pour ma part, depuis ma prime enfance, Dieu m’est témoin que j’aimais les nègres.

    Avant de me faire traiter injustement de raciste, je tiens à dire que le mot « nègre » n’a, dans ma bouche, aucune connotation péjorative. Léopold Sédar Senghor et Aimé Césaire ont revendiqué leur « négritude » et ils ont eu raison. On devrait toujours avoir la fierté de ses origines, quelles qu’elles fussent. Les jérémiades victimaires de descendants d’esclaves ne riment à rien.

    Jadis, les Romains ont peut-être utilisé mes lointains ancêtres cévenols comme esclaves, pour construire le Pont du Gard, entre autres. Pourtant je n’ai pas la moindre rancœur à l’égard de nos voisins italiens et je n’exige d’eux ni repentance, ni réparation. J’aurais même plutôt tendance à les remercier d’avoir civilisé des tribus gauloises primitives et d’avoir construit de beaux monuments comme les arènes de Nîmes, le théâtre d’Orange ou l’aqueduc gardois.

    J’aimais les nègres, disais-je, et j’ai  toujours eu une véritable admiration pour le courage de nos tirailleurs sénégalais, tant durant la Grande Guerre qu’à la suivante. Il faut se souvenir que, durant la campagne de France, l’infanterie allemande avait reçu l’ordre de « ne prendre vivant aucun prisonnier nègre ». Dès lors, les soldats noirs capturés furent souvent abattus comme des chiens.

    (...)
    Mais vous, Très Chère Assa, maintenant, parlons un peu de vous et de votre fratrie.

    Vous êtes issue d’une famille polygame. J’avais crû comprendre qu’en France la polygamie était interdite. Pourtant votre père, Mara-Siré, né au Mali, arrivé en France à l’âge de 17 ans, s’est uni à une Picarde, puis à une Normande (desquelles sont nés sept ou huit enfants), puis il s’est marié au Mali avec Hatoumma qui lui a donné six enfants dont vous, Très Chère Assa, puis, enfin, avec Oumou qui aura trois enfants dont Adama. Votre père meurt jeune, laissant une famille de dix-sept enfants, et ces enfants du jus solis sont tous de bons petits Français, certes un peu turbulents si  l’on se fie au casier judiciaire de certains d’entre eux : c’est un « Bottin mondain » de la voyoucratie, un « Gault et Millau » de la délinquance. Les mauvaises langues diront que leur volonté d’intégration ne semble pas évidente. Pour ma part,  je ne me permets pas de les juger, ce n’est pas mon rôle.


    https://ripostelaique.com/ma-declaration-a-assa-t-jen-ai-marre-des-gens-comme-vous.html

     

    Les malfrats sont dans la plaine ...

     

     


    votre commentaire
  • A la place de Zelensky, je raserais les murs…

     


    votre commentaire
  • Retour du Refoulé

     

    L'Islam, une religion qui nous combat

    Louise Nesther

    Les vagues de criminalité dont souffre la France sont bien la conséquence d’un choc des cultures qui caractérise les banlieues de différentes villes de l’Hexagone.

    Les attaques au couteau se multiplient comme la manne dans le désert français : à Bordeaux, 31 sont comptabilisées pour ce seul mois de juin. Triste exemple par sa banalité, d’une délinquance qui dans son honorable souci d’égalité n’épargne aucune de nos métropoles françaises. La préfecture indique une moitié de mineurs sur la totalité des incriminés, ou des jeunes majeurs venus clandestinement du Maroc ou d’Algérie sans leur famille. Ils multiplient vols et cambriolages, hostiles à toute intégration dans des familles d’accueil. Sans papiers, se prétendre mineurs leur permet d’échapper à l’expulsion ou à la prison : l’enfant roi barbu jouit de son impunité diplomatique. Le pays du lait, du miel et de la CAF leur semble un terrain de jeu : pillons Canaan, sa fin des temps est proche. Dernier exemple en date de privatisation du terrain national, dans la nuit du 1er août, le commissariat de Vitry-sur-Seine s’est vu attaqué par des cocktails Molotov et une pluie de mortiers.

    Dans l’état de nature, chacun s’octroie le droit régalien de tuer ou voler son voisin. Lequel pouvant s’avérer d’aussi piètre humeur que moi, il faut nous protéger l’un de l’autre en renonçant réciproquement au pur exercice de nos biceps. D’où la nécessité et l’émergence d’un ordre politique, carotte et bâton de ma survie garantie : l’État détient par sa police l’exclusivité de la force et assure ainsi la sécurité collective. Mais autres temps, les autres meurent. Hier carotte, aujourd’hui carotté : à défaut d’avoir le monopole du cœur, l’État semble n’avoir même plus celui de la violence légitime.

    Pourquoi donc, et qui s’empare de cette dernière ? La sociologie incrimine une paupérisation criminogène des banlieues et leur ghettoïsation ethnique. Jean Valjean vole du pain pour survivre, et Robin des bois fait ruisseler le gain sur la smala. (Causeur)

     

    Les refoulés aux couteaux ...

     

     

     

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  • Salman Rushdie, soutenu par les politiciens français… qui ont peur des mots

    Arnaud Florac

    Par une sorte d'éternel retour, Salman Rushdie, que l'on croyait tiré d'affaire depuis sa condamnation à mort par le régime de l'ayatollah Khomeyni, en 1988, vient d'être attaqué dans une librairie new-yorkaise. "Blessé au cou", selon la célèbre formule, il ne mourra probablement pas, mais devrait perdre un œil. Salman Rushdie, Odin moderne, qui sacrifierait un de ses yeux pour avoir le privilège de tout connaître ? Même pas : ce sacrifice n'a pour but, à ce qu'il semble, que d'ouvrir nos yeux à nous sur la permanence de la menace islamiste. Mais ça ne marche toujours pas. Quand on est déjà aveugle, on se soucie peu du destin des écrivains devenus borgnes.

    Évidemment, tous les politiques et tous les journalistes du monde, avec un psittacisme qu'on n'a pas vu depuis le début de la en Ukraine, se répondent à qui mieux mieux pour soutenir Rushdie, victime de la liberté d'expression. La France ne fait pas exception à la règle : pensez donc ! Le pays des droits de l'homme ! La terre des Lumières ! Il n'y avait pas d'impasse possible. De à Corbière, tout a émis son petit tweet. C'était bien le moins. Cela n'a pas d'intérêt.

    Ce qui est intéressant, en revanche, c'est cette curieuse pudeur à nommer les choses. « L'obscurantisme », pour Macron, « les fanatiques religieux » pour Corbière. Mais au juste, des fanatiques, des obscurantistes, en trouve-t-on, pour la millième fois, dans d'autres religions ? D'autres croyants que musulmans commettent-ils des attentats ? Cherchent-ils à égorger ceux qui ne pensent pas comme eux ? Quel dommage que notre classe politique, si prompte à dénoncer les crimes, s'arrêtent juste avant de tirer les dernières conclusions, pourtant évidentes.

    Tout cela manque un peu de décence, non ? Quand on n'est pas fichu d'expulser un prédicateur islamiste, on devrait peut-être la fermer un tout petit peu au sujet de la menace des « fanatiques religieux » ? Non ? Et quand on est député LFI, spécialisé dans le racolage des voix musulmanes, au point d'appartenir à un parti qui propose une loi contre l'État d'Israël, on aurait peut-être également intérêt à se tenir tranquille aussi, vous ne croyez pas ?
    https://www.bvoltaire.fr/salman-rushdie-soutenu-par-les-politiciens-francais-qui-ont-peur-des-mots/

     

    Le courage de Freluquet et des autres ...

     

     


    votre commentaire
  • Hier soir j'ai bien trempé mon jardin,
    Il parait que la pluie rentre plus doucement sur sol mouillé.
    Il a commencé à pleuvoir vers minuit, tout doux.
    Ca a tombé longtemps et doucement.
    Quelques coups de tonnerre au loin.
    Il fait frais dehors et encore lourd dans la maison.
    Beau dimanche.
    La France se meurt sous la racaille et la police est envoyée à la vérification des portes qui doivent être fermées dans les magasins climatisés !!!

    Bonjour à Toutes et à Tous ...


    votre commentaire
  • J'ai trempé mon jardinet car il parait que la pluie pénètre mieux et plus doucement ...
    Saint Ventilo tourne toujours !!!
    Bonne nuit !
    Salman Rushdie « légèrement blessé » (par un gentil muzz) : un oeil crevé, un bras paralysé, le foie perforé…

    J'attends l'éclair qui luit, j'attends la pluie jolie ...


    votre commentaire
  • En ce siècle ubérisé où le « transhumanisme » nous est promis a moyen terme par le grand capital et les chercheurs à sa solde, la quête identitaire sera de plus en plus obsédante. Chacun devra équiper son petit moi en évitant une double impasse : la rétraction tribale (race, confession, coutumes sacralisées) et la plongée sans masque dans les marais du cosmopolitisme. Question de discernement. Nous sommes d’ici et d’ailleurs, les pieds dans une glèbe déterminée, les yeux dans des étoiles innombrables.

    Mais nous ne sommes pas de nulle part, parce que nous ne procédons pas de n’importe quoi.

    Plus nous prendrons conscience de nos vraies attaches, et les chérirons, et les cultiverons, plus nous serons libres de nous ébattre dans l’altérité sans risque de nous y noyer.

    Denis Tillinac

     

    Les "chance" pour la France !!!

     


    votre commentaire
  • Lyon : Insalubrité, marché sauvage, nuisances… Ce quartier lyonnais “prend la direction de la Guillotière”

    Dans le 8e arrondissement de Lyon, nombreux sont les habitants qui ne reconnaissent plus leur quartier : celui des États-Unis. Témoignages.

    « En 20 ans, c’est devenu dégoûtant et mal fréquenté », assure une habitante du quartier des États-Unis, dans le 8e arrondissement de Lyon. Ils sont nombreux à ne plus reconnaitre ce lieu qu’ils ont pourtant tant aimé, au sein duquel ils ont parfois grandi.

    « Ca fait trente ans que je suis là. Les gens vivaient tous les uns avec les autres, c’était un quartier populaire sans vraiment d’insécurité, le marché était propre… », se souvient cette lyonnaise, qui enrage aujourd’hui contre ce à quoi elle fait fasse chaque jour.

    « Toutes les problématiques de Guillotière sont en train de glisser dans notre quartier, c’est une catastrophe ». Un autre habitant a le même ressenti, estimant que les États-Unis « prend petit à petit la direction de Guillotière ».
    https://www.fdesouche.com/2022/08/12/lyon-insalubrite-marche-sauvage-nuisances-ce-quartier-lyonnais-prend-la-direction-de-la-guillotiere/

    https://www.fdesouche.com/

     

    Paris, Marseille, Lyon, Bordeaux, Nantes etc ...

    Paris, Marseille, Lyon, Bordeaux, Nantes etc ...

     

     


    votre commentaire
  • Paris, vitrine de la France poubelle

     


    votre commentaire
  • Marseille : et le « jeune » devint « riverain »

    Jany Leroy 

    « Une nouvelle agression d'éboueurs hier soir à Marseille, une équipe a été prise à partie par des riverains... Des agressions qui ont tendance à se multiplier. » Le journaliste de BFM TV chargé de lancer le reportage a clairement identifié le profil des agresseurs. Il s'agit de riverains. À Marseille, lors de la collecte des ordures ménagères, des retraités, des couples de trentenaires, des cadres, des ouvriers et toutes sortes de Français habituellement paisibles ouvrent leurs fenêtres et lancent des projectiles sur les éboueurs. Les plus hargneux sortent de leur domicile et les tabassent. En un mot comme en cent, le riverain est une plaie.

    Habituellement qualifiés de « jeunes », les auteurs de ce type de délits seraient donc en passe d'être élevés au rang de « riverains ». Huit agressions depuis mi-juin dans la cité phocéenne. Le riverain ne chôme pas. « Un phénomène de violence qui se répète dans tous les arrondissements de la ville », explique la voix off du reportage. « Jet de pierres, de télévisions ou encore violences physiques ou verbales. » Le téléviseur fut lancé alors qu'un journaliste de BFM était à l'image. Le riverain ne respecte rien. Patrick Rué, secrétaire général FO de Marseille, livre son analyse : « On a l'écho de toute la difficulté, de tout le mal-être que ressent la population actuellement. » À Bordeaux, Roanne, Le Mans et autres agglomérations, l'habitant mal dans sa peau regrette d'avoir déposé son sac poubelle dans un container. Qui lui a pris ce qu'il avait de plus cher ? Qui a ramassé ces déchets qu'il comptait placer à 5 % dans une banque suisse ? Réponse : les sinistres personnages à l'arrière des camions-bennes. La colère s'explique.

    Le jeune ne supportait pas la venue de SOS Médecins, des pompiers et du SAMU. Devenu riverain, le voilà également allergique aux éboueurs. Qu'en sera-t-il lorsqu'il aura été promu propriétaire ou châtelain ?

    Certains résidents de pavillons et d'habitats collectifs ne supportent pas non plus la lenteur des véhicules balayeurs et collecteurs d'ordures ménagères. Le riverain est pressé. « On a une autre affaire où le chauffeur a percuté l'arrière d'une benne et le ripeur a eu la jambe écrasée », explique le sociologue syndicaliste FO. En proie à une de mal-être, le conducteur se rendait chez son médecin. Le drame était inévitable.
    https://www.bvoltaire.fr/marseille-et-le-jeune-devint-riverain/

     

    Je vous présente le riverain !!!

    Et la "RACAILLE" devient "RIVERAIN", c'est vrai ça fait moins peur !!!

     

     


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique