Une tombe, ce n’est rien qu’un coffre vide.
Celui que j’aime tient tout entier dans mon souvenir,
dans un mouchoir encore parfumé que je déplie,
dans une intonation que je me rappelle soudain
et que j’écoute un long instant, la tête penchée…
Il est dans un court billet tendre dont l’écriture pâlira,
dans un livre usé que flattèrent ses yeux,
et sa forme est assise à jamais, pour moi,
— mais pour moi seule —
sur ce banc d’où il regardait,
pensif, bleuir dans le crépuscule la Montagne aux Cailles…
Colette

Peu m’importe.
Les chiens peuvent bien
dévorer les portes du jour,
Les vautours arracher
une à une les étoiles,
les hommes empoisonner,
les rivières, la terre.
Peu m’importe,
tu portes le jour,
et ce mot de toi,
cet éclat de vers,
m’est une aube nouvelle.
"Temps du rêve"

Le cimetière de Chauchilla a été découvert dans les années 1920,  mais ne avait pas été utilisé depuis le 9ème siècle AD . Le cimetière comprend de nombreuses sépultures importantes sur une période de 600 à 700 ans. Le début des inhumations était dans environ 200 AD. Il est important en tant que source de l'archéologie à la culture Nazca . Le cimetière a été largement pillé par huaqueros (pilleurs de tombes) qui ont quitté ossements humains et des poteries dispersés autour de la zone. cimetières locaux similaires ont été endommagés à un une plus grande mesure. Le site a été protégé par la loi péruvienne depuis 1997 et les touristes payer environ sept dollars américains pour prendre la visite de deux heures de cette ancienne nécropole . Le site est par le lit de la rivière Poroma et peut être consulté hors une piste de la saleté de la route Panaméricaine . En 1997, la majorité des ossements épars et pillé la poterie ont été rétablies sur les tombes.
http://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=http://en.wikipedia.org/wiki/Chauchilla_Cemetery&prev=search
http://www.routard.com/guide_voyage_lieu/14770-cimetiere_de_chauchilla.htm

La barrière de séparation israélienne est une construction en Cisjordanie en cours d'édification par Israël depuis l'été 2002, sous les noms officiels de « גדר ההפרדה - Geder HaHafrada » en hébreu (littéralement : grillage de séparation), ou de « clôture de sécurité » (« security fence »). L'objectif déclaré serait de protéger la population israélienne en empêchant physiquement toute « intrusion de terroristes palestiniens » sur le territoire israélien.
L'existence et le tracé de cette construction, longue de plus de 700 km et incluant plusieurs grands blocs de colonies israéliennes en Cisjordanie, sont contestés sur des aspects politiques, humanitaires et légaux. L'Assemblée générale des Nations unies a adopté, le 21 octobre 2003, une résolution condamnant la construction d'un « mur » empiétant sur le « territoire palestinien occupé » par 144 voix pour et 4 contre.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Barri%C3%A8re_de_s%C3%A9paration_isra%C3%A9lienne

Patrice Cudennec
Natif de Saint Brieuc, l’artiste vit et travaille en Bretagne. C’est le peintre des couleurs bretonnes comme l’ont été ses prédécesseurs de l’école de Pont-Aven. Il est aussi le peintre de toute une humanité bretonne, peuple de pêcheurs, de marins, rencontrés au bord d’une cale ou pendant un pardon. Son univers est baigné  de tendresse et de méditation, il donne une grande impression d’apaisement. (Breizh.info)
http://www.artnet.fr/artistes/patrice-cudennec/r%C3%A9sultats-de-ventes

Par André Bellon

On pourra épiloguer longuement sur la décision de l’Islande de retirer sa demande d’adhésion à l’Union européenne. On expliquera bien sûr que les quotas de pêche en étaient le motif principal tout en évitant de se demander pourquoi cette question était hier sans importance. Les affiches « Non merci » partout apparentes sur le sol islandais prouvent la profondeur de ce choix. On oubliera surtout que cette décision intervient après des années de profonde crise économique et politique marquée par deux référendums, des élections assez conflictuelles et surtout l’élection d’une Assemblée Constituante.

 Il convient donc de rappeler que les islandais ont refusé de payer les dettes des banques privées. Le gouvernement britannique et le gouvernement néerlandais, soutenus par l’Union européenne, voulaient que le contribuable islandais rembourse les dettes de cette banque privée, au lieu de laisser le syndic de liquidation être responsable de ces dettes. Le Président islandais Ólafur Ragnar Grímsson a décidé alors de faire appel à un référendum. Comme il le déclare lui-même, « une armée d’experts et d’autorités financières me disaient : si vous autorisez les gens à s’exprimer, vous isolerez financièrement l’Islande pour des décennies. Le scénario catastrophe serait sans fin... J’étais devant un choix fondamental entre les intérêts financiers d’un côté, et la volonté démocratique du peuple de l’autre. »
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article28098

Par Delfeil De Ton

 Nous étions le 26 février. En Arabie, celle de la famille Saoud, qui venait de perdre son roi que la famille a eu tôt fait de remplacer. C’est l’avantage des royautés, on ne gâche pas son jour de repos à aller voter, en Arabie, donc, les rois se suivent et se ressemblent. C’est une famille de coupeurs de têtes. Le roi précédent décapitait déjà à tout-va. Le nouveau roi a retenu la leçon.

Nous étions, donc, le 26 février. Ce jour-là, en Arabie, deux décapitations. La veille, une seule. Ce qui faisait quand même trois décapitations en quarante-huit heures. Ça tombait, les têtes là-bas et les dépêches ici, à un rythme soutenu. N’exagérons pas non plus, il n’y a pas décapitation tous les jours en Arabie. Là, en nous tenant au calendrier des Infidèles, celui qu’on emploie pour les affaires financières, celles qui comptent, une royauté a beaucoup de princes à nourrir, surtout dans une famille régnante de polygames, et de princesses à vêtir et à maquiller, ce qui coûte cher à leurs époux car la rivalité à l’intérieur du harem est un fort aiguillon à la dépense, en nous tenant donc au calendrier des Infidèles, le 26 février était le cinquante-septième jour de l’année. Le dernier décapité de ce jeudi était le trente-quatrième de 2015. Pas mal, n’est-ce pas ? Une bonne moyenne. Tiens, puisque l’ordinateur fournit la calculette : 0,6 décapité à la journée. Mis en chiffres, ça fait bizarre. Ça paraît moins humain.
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article28100

La météo de ce dimanche n'est pas très optimiste ...
Je ferai avec ... pas de pluie, temps relativement clair ... ça me va !
Bonn dimanche !
N'adhérez pas à la facilité, vous ne grandirez pas.
Allez là où les attentes et les exigences à remplir sont élevées.
Jim Rohn

Le gris et le froid ont envahi mon petit monde !
Quel bonheur d'être dans un endroit chaleureux et confortable !
Bonne soirée et à demain !
Laisser aller.
C'est comme nager à contre-courant cela vous épuise.
après un certain temps, qui que vous soyez, vous avez juste à laisser aller,
la rivière, vous ramène à la maison.
Joanne Harris

Le 18 septembre 1945, 1.000 étudiants blancs de l'école Froebel boycottent les cours afin que les étudiants noirs soient transférés dans une autre école.
Soucieux de mettre fin à la controverse, un groupe appelé le Forum a invité Joe Louis,  champion des poids lourds et la légende de la musique Frank Sinatra (alors âgé de seulement 30 ans) pour venir à Gary dans un effort pour encourager, obliger ?  les boycotteurs à reprendre les cours. Joe Louis ne put briser ses engagements antérieurs, mais Sinatra annula un concert de $ 10 000 pour se rendre à Gary, dans l'Indiana.
Plus de 5.800 fans enthousiastes arrivèrent au Memorial Auditorium et Sinatra eut l'occasion de s'insurger contre l'intolérance raciale, chantant  "The House I Live In", appelant à la grève "l'incident le plus honteux dans l'histoire de l'éducation américaine» et suggérant que les adultes qui poussaient les étudiants à ce comportement soient conduits hors de la ville.
Frank Sinatra était un grand militant du mouvement des droits civiques.