• Les giboulées aussi ...
    il fera jour demain ?
    Bonne soirée et à demain donc !
    Elle était irrésistible,
    non pas parce qu'elle n'avait pas connu les échecs et les doutes,
    mais parce qu'elle avait poursuivi son chemin malgré cela.

    Le frisquet est revenu ...




    votre commentaire
  • Laurence Aguerre ...
    1978  Dès mon enfance, dans l'isolement de mes Landes natales, une passion pour le fil qui se fait dentelles ou broderies... elle rythmera désormais tous mes loisirs...
    1990  Des études conventionnelles sur fond de Pyrénées.
    1992 La vie parisienne… dans la mode. Des matières et des techniques innovantes, du volume, du style, de la créativité à profusion, de la passion contagieuse.
    Mes mains poursuivent leurs explorations: tissus, fibres, feutre, perles, bijoux, accessoires….
    2012  La réalisation d’un Rêve, un retour à l’école, en section Métiers d'Arts Textiles de l’Ecole Supérieure des Arts Appliqués Duperré. Des nouvelles techniques, de tissage, de vannerie, de broderie, de dentelles, du piqué libre, de la teinture, de la mise en volume, toujours plus d’explorations, du lâcher prise, un bain de jeunesse, et beaucoup de plaisir.
    2014  « Un peu d’air », une installation comme point final de formation, et commencement d'une nouvelle aventure. Un jardin textile, parenthèse végétale ressourçante, un partage émouvant, un échange vibrant.
    http://www.laurenceaguerre.paris/#!galeries/c22j5
    liquez sur les deux photos ... c'est magique !

    Elle invente une beauté parallèle à celle de la nature ...


    votre commentaire
  • Ondine ...

    On l’appelait Ondine.
    Tous les soirs, vers 19h30, elle interpellait mari et enfants en criant :
    « On dine ! ».
    C’est le petit dernier qui, en la regardant, prononça Ondine pour la première fois,
    avant de lui prendre la main.
    Ce n’est pas qu’il avait faim non, mais il trouvait que ça sonnait bien.
    Puis d’autres se mirent à leur tour à la prénommer ainsi.
    Famille, voisins, amis, tout le monde l’appelait Ondine,
    jusqu’à ce qu’on oublie son vrai prénom.
    Ça ne lui était pas désagréable, après tout,
    Ondine, c’est bien plus joli que Mariette.
    Extrait du blog "la vie en noir et blanc"


    votre commentaire
  • Silence ...

    Le silence est notre thérapie.
    C’est lui qui nous apprend à regarder le passé,
    à affronter nos actes, à combattre les erreurs.
    C’est lui qui nous fait réfléchir, et nous pousse à la remise en question,
    lui aussi qui nous guide, apaise nos angoisses ou les fait resurgir,
    nous sort de l’incertitude ou nous plonge dans la folie.
    C’est lui qui apprivoise ce que nous sommes,
    assassine le poids des heures,
    lutte contre les parts de nous-mêmes que nous voudrions oublier.
     Anne-Sophie Brasme


    votre commentaire
  • Mon beau-père était Guadeloupéen, noir, descendant d'esclave, sans doute métissé ? Une grande beauté, des traits fin, j'ai toujours rêvé de pouvoir savoir à quelle ethnie d'Afrique il appartenait, il me faisait penser, par la finesses de ses traits, à un Ethiopiens.
    Au Danemark, on a retrouvé les os de trois esclaves africains. On a fait dessus des tests ADN ce qui a permis de localiser leur ethnie d'origine !
    Jusqu'ici, il était difficile de déterminer précisément d'où provenaient les 12 millions d'esclaves africains transportés en Amérique entre 1.500 et 1.850 (vous vous rendez compte ? ma grand'mère est née en 1.890 ...) car à cette époque il n'y avait pas de relevés précis.

    Racines ...


    votre commentaire
  • L'île de Queimade Grande (en portugais : Ilha da Queimada Grande) est une ile brésilienne qui se situe à environ 35 kilomètres du littoral de l'État de São Paulo, dans la municipalité d'Itanhaém, non loin de la ville de Santos. Elle est inhabitée et son accès est strictement réservé aux scientifiques de l'Institut Butantan d'herpétologie.
    Elle est connue comme étant un lieu abritant la population de serpents la plus dense de la planète. De ce fait, c'est l'un des endroits le plus dangereux au monde pour l'homme, ainsi, personne, à part les scientifiques, n'a le droit d'accoster ici. Ces serpents appartiennent tous à la même espèce, une variété de fers de lance appelée trigonocéphale insulaire ou jararaca-ilhoa (bothrops insularis)1dont le venin est cinq fois plus puissant que celui de leurs cousins bothrops continentaux2. Il y a des serpents sur le sol, il y en a dans les arbres, il y en a au sommet de l'île et sur la plage. Ils ont même élu domicile dans l'ancien phare, déserté depuis longtemps.
    http://www.planet.fr/monde-decouvrez-queimada-grande-lile-aux-serpents-les-plus-dangereux-du-monde.651324.1608.html

    Frissons ...


    votre commentaire
  • Le mur de Berlin (en allemand Berliner Mauer)1, « mur de la honte » pour les Allemands de l'ouest et officiellement appelé par le gouvernement est-allemand « mur de protection antifasciste », est érigé en plein Berlin à partir de la nuit du 12 au 13 août 1961 par la République démocratique allemande (RDA)2, qui tente ainsi de mettre fin à l'exode croissant de ses habitants vers la République fédérale d'Allemagne (RFA)2,3. Le mur, composante de la frontière intérieure allemande, sépare physiquement la ville en Berlin-Est et Berlin-Ouest pendant plus de vingt-huit ans, et constitue le symbole le plus marquant d'une Europe divisée par le rideau de fer. Plus qu'un simple mur, il s'agit d'un dispositif militaire complexe comportant deux murs de 3,6 mètres de haut4 avec chemin de ronde, 302 miradors et dispositifs d'alarme, 14 000 gardes, 600 chiens et des barbelés dressés vers le ciel. Un nombre indéterminé de personnes sont victimes des tentatives de franchissement du mur. Cependant, il apparait que les gardes-frontière est-allemands et les soldats soviétiques n'hésitent pas à tirer sur les fugitifs.
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Mur_de_Berlin

    Les honteuses barrières des hommes ...


    votre commentaire
  • Fox Grom est un photographe russe né à Kirovsk. L’artiste détient deux magnifiques Husky qu’il s’amuse à photographier dans toutes sortes de situations. Dans cette série, l’homme s’est promené avec ses deux adorables bêtes sur un lac gelé. A découvrir en images dans la suite de l’article.
    http://www.fubiz.net/2015/03/12/siberian-husky-on-a-frozen-lake/

    Les lacs gelés me font peur ...


    votre commentaire
  • Stefania Orrù
    Son premier intérêt a été dans la littérature et la poésie; pendant les années d'université à Urbino puis Vérone, elle a découvert la peinture comme un moyen d'expression, et il assume immédiatement un rôle central dans sa vie.
    En 1997, elle se installe à Ombrie, où elle a travaillé pendant environ six ans avec le maître spellano Marchionni.
    C'est dans ces années, qu'elle se rapproche de la peinture de fresques et de la peinture murale.
    Stefania Orrù essaie de représenter l'essence intime de la femme.
    Propos de la galleria Gagliardi
    http://artodyssey1.blogspot.fr/2013/11/stefania-orru.html

    Le monde de Stefania ...


    votre commentaire
  • Engeance bancaire

     

    Par Sorj Chalandon

    Jean-Pierre, restaurateur près de Chinon, apprend en mai 2014 qu’un établissement de Mayenne est à reprendre. L’Orée du bois, ça s’appelle. Une table à l’ancienne dans le village de Belgeard, entre l’église et la mairie. Chaque jour, une grosse vingtaine de couverts. La clientèle est travailleuse. Routiers, employés, commis, conducteurs d’engins. Pas de chichis. Cuisine ouvrière, les gars ont faim. Ici, c’est bottes et bleu de travail. Et, le dimanche, les familles s’habillent pour souffler les bougies. Jean-Pierre accourt. L’affaire est faite.

     À l’été 2014, il sollicite un prêt auprès de la Société Générale de Mayenne, histoire de finir son installation et d’acheter un véhicule commercial. Tope là. Accord verbal. C’est bien le moins. Client de cette banque depuis neuf ans, sans histoire ni accroc, il sollicite la somme mirifique de 20 000 euros sur cinq ans. Jean-Pierre ouvre son restaurant le 10 juillet, avant que le prêt soit signé. « C’est peut-être ça qui les a froissés… », s’interroge-t-il aujourd’hui. Car, du jour au lendemain, la banque devient grossière. Plus de prêt. Plus de contact. Mépris souverain de l’agence de Mayenne. « Je ne vous aiderai pas », lance la conseillère pour solde de tout compte.
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article28083

    La mafia des banksters ...


    votre commentaire