Les Teddy-girls ...

Nous retrace l'histoire de gangs de filles qui se sont révoltées contre l'austérité, échangeant leurs carnets de rationnement avec des froufrous édouardiens ...
Elles ont aussi osé le pantalon alors que c'était plus ou moins interdit.
https://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=http://www.anothermag.com/fashion-beauty/8064/teddy-girls-the-style-subculture-that-time-forgot&prev=search

https://flashbak.com/ken-russells-brilliant-photos-of-teddy-girls-from-1955-53195/

Le Japon des dessins animés ...

Le studio Ghibli (株式会社スタジオジブリ, Kabushiki gaisha sutajio Jiburi?) est un studio d'animation japonais fondé par Hayao Miyazaki et Isao Takahata en 1985. Il produit des anime (films d'animation japonais), longs-métrages et courts-métrages, ainsi que des téléfilms, des séries d'animation et des jeux vidéo, dans une moindre mesure. Le studio est connu principalement pour ses longs-métrages d'animation destinés à un large public et dont plusieurs ont remporté des succès auprès de la critique et du public. Le logo du studio est un totoro, une créature mise en scène dans le film Mon voisin Totoro en 1988.
http://susuwatori.tumblr.com/post/165550400681/ghibli-houses

En Algérie, la bédouinisation des villes.

Le sacrifice du mouton, pour l'Aïd-el-Kébir, ne respecte aucune règle d'urbanité.
"SVP, arrêtez cette bédouinisation islamique qui menace nos villes ! Les moutons envahissent les rues d'Alger ..."
Pour avoir tiré la sonnette d'alarme dans sa chronique du quotidien francophone Liberté, l'écrivain Amin Zaoui s'est attiré les foudres des islamo-conservateurs qui le lynchent sur les réseaux sociaux.

Des moutons dans la ville ...
Pourtant, le sacrifice rituel de l'Aïd, qui débute ce mardi, défit toutes les règles de la vie citadine. Depuis 2 semaines, à la périphérie d'Alger, des troupeaux de moutons sont proposés à la vente aux particuliers. On les retrouve au centre ville, l'éphémère animal de compagnie des enfants prend ses aises, avant de finir en barbecue.
Sur les trottoirs, dans les immeubles, dans les salles de bains et même dans le métro, l'ovin est devenu le maître des lieux. Des bottes de foin sont entreposées dans les abribus. En banlieue on organise des combats de béliers et on lance des paris pourtant prohibés par l'Islam.
Le jour du sacrifice, les cours d'immeubles et les rues deviennent des abattoirs à ciel ouvert. L'odeur âcre du sang mal lavé se mélange aux effluves des abats jetés un peu partout, pour dégager sur la ville la puanteur d'une décharge publique. Dans ce climat de religiosité aiguë, l'état a abdiqué devant les islamo-conservateurs qui justifient ces pratiques par "nos traditions culturelles (le mot est fort lol) et nos valeurs religieuses".
auteur Arezki Aït Larbi pour Ouest-France.

Bon, les catho-conservateurs n'oublient pas de manger l'agneau à Pâques et la dinde à Noël, mais  ils ne gênent pas les villes avec ça, ils vont chez un bon boucher.

Hier soir,  vers minuit, j'ai fait sortir Bidule dans le jardin, j'entendais des  coups de feu ? des pétards ? Ah ouin Al Rezé fêtait l'Aïd ...

Par Pierrick Tillet

Le phénomène paraît secondaire, mais ne l’est point : cette année les bistrotiers français ont manqué cruellement de saisonniers pour faire leurs petites affaires. La faute aux jeunes ? C’est comme ça, pestent les vieux croutons aigris, les jeunes veulent plus bosser. Moyennant quoi, les bistrotiers ont exigé la régularisation rapide des réfugiés qu’ils pourraient payer des clopinettes. Ce que précisément les jeunes ne veulent plus : bosser pour rien, pour n’importe quoi, dans n’importe quoi. Ou alors un strict minimum, sans autre ambition que de satisfaire les besoins élémentaires immédiats. Mais pas plus. Pour le reste, ils se débrouillent dans leur coin, et plutôt bien.

Des entrepreneurs d’un genre particulier

 A et B (32, 30 et un bébé de huit mois) viennent de s’acheter une petite maison délabrée à entièrement rénover. A a un boulot sans grand intérêt (il faut bien bouffer), B ne travaille pas (je veux dire, n’a pas d’emploi). Ils ont calculé que les échéances mensuelles du remboursement d’un prêt ne leur couterait pas plus cher qu’un loyer. Et le prix de l’immobilier a suffisamment baissé pour qu’ils se dégotent un home sweet home à leur portée. En jouant sur les finesses du système (prêt à taux zéro, etc.) et sur les aides de leurs familiers, ils ont réussi à rassembler le petit pécule nécessaire.

Pour cause de budget ultra serré, A (qui auparavant était effrayé par la simple pose d’une étagère) s’est mis en tête de faire lui-même une grosse partie des travaux et les a faits. B s’est occupée de coordonner les travaux entre les différents corps de métier : maçon, électricien, couvreur, plombier, plaquiste, menuisier… Pas une mince affaire. A et B habitent désormais dans leur maison toute pimpante avec leur bébé. L’espace de plusieurs mois, ils se sont donc retrouvés entrepreneurs immobiliers d’un genre un peu particulier : à leur compte et pour leur seul compte. Pas d’emploi, mais un sacré boulot de réalisé.
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article38824

Le ventilo a tourné toute la nuit ...
La lune est là, la lune est là ...
Je ne sais si c'est hier, la lune ou la chaleur,
mais j'ai mal dormi, aujourd'hui sera journée au ralenti.
Belle journée à tous même à mo lol
Ne quémande rien. N’attends pas d’être un jour payé de retour.
Ce que tu donnes trace une voie te menant plus loin que tes pas.
François Cheng

Gris mou et soleil  pâle !
Pas une goutte d'eau, donc petit arrosage ...
Demain je prends un genre de jour de vacances ...
Bonne soirée !
Se souvenir des bons moments passés entre amis,
est le plus beau voyage que l'on puisse faire.
Manumax

Retour de ta voix
    sur l'aile dans l'or
    porte au-delà des corps
    je cherche sans fin
    le lieu rayonnant
    du bonheur qui nous reste à vivre
    mais où m'emportes-tu
    dans le passé jamais vécu
    l'or du temps textuel
    ou la joie inimaginable
    à venir
    Martine Broda

Le ciel s'enfarde de couleur pourpre
défiant le teint gris des champs infinis.
Les paysages,
illustres comme immortels,
s'étendent et semblent vieillir en périssant dans une vallée ;
qui ne porte d'autre nom que celui des années.
La lueur projetée par l'astre solaire est rougeoyante,
impalpable, indéfinie, ineffable.
De la tristesse
ou de la paix
on ne sait réellement discerner les frontières.
Cha

Les jours coulent, et je coule
vers mon destin
l’abîme qui nous fascine tous
on s’éloigne de ce qu’on aime
les rives magiques
où pousse la vie
où frémit le désir
La barque m’emporte vers mon destin
et je coule
Christophe Charles (extrait)

Eski Kerman, une ancienne ville grotte en Crimée
par Kaushik

Eski Kermen est une ville médiévale située à seulement 6 km de Mangupa, dans la région de Bakhchisaray en Crimée. La ville est située sur l'une des montagnes à sommet plat appelées mesa, qui sont normales pour cette partie de la Crimée, et est célèbre pour ses plus de 300 grottes. Les grottes ont été construites au 6ème siècle et ont été utilisées pour l'habitation humaine en raison de la sécurité qu'elles ont fournie et de l'abri qu'elles offraient des éléments. Au fil des siècles, les habitations ont grandi et hébergé plusieurs centaines de personnes à la fois. La vie religieuse était importante pour ces personnes qui avaient quelques temples et églises construits dans les grottes. L'une des églises a encore des fresques représentant le Christ et Marie, bien que les fresques commencent à montrer l'usure des éléments.

La "cité-grotte" était habitée jusqu'à l'arrivée des Mongols au 13ème siècle.
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