Née à Paris, Patricia SIMSA a commencé sa carrière artistique par la sculpture, puis la peinture. De nombreuses expositions en Europe ont jalonné son parcours.
Humour, sensualité, chaleur des couleurs, fluidité du mouvement de ses personnages aux formes souvent généreuses, voilà l’écriture de de cette artiste singulière.
http://www.galeriejamault.com/artistes/simsa/

Par Isabelle Rey-Lefebvre

Pas moins de 14 % des sans-abri ont suivi des études supérieures et 10 % sont diplômés, selon une étude de l’Insee et de l’Institut national d’études démographiques (INED) publiée mercredi 28 septembre. Leurs travaux se fondent sur un recensement mené en janvier et février 2012 dans les centres d’hébergement, les hôtels, les centres maternels, les lieux de distribution de repas ou encore les banques alimentaires.

 Le nombre de personnes privées d’un domicile personnel était, à l’époque, estimé à 143 000, dont 30 100 enfants. Il avait déjà bondi de 50 % par rapport à la précédente enquête, datant de 2001, avec une poussée très forte des familles, notamment étrangères. Ces données n’ont fait qu’empirer depuis. Cette année, pour la seule région Ile-de-France, la préfecture déclare mettre à l’abri 80 000 personnes chaque soir. Les chiffres globaux sont déjà connus. Mais ce que soulignent les deux auteurs de l’étude, le démographe Philippe Cordazzo et le sociologue Nicolas Sembel, l’est beaucoup moins. Pour eux, « le phénomène de déclassement s’étend et le diplôme ne protège plus de la précarité ».
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article32548

Contraint par le Tribunal administratif de Paris de communiquer à un militant écologiste l’accord signé en avril 2015 entre l’État et les sociétés d’autoroute, le ministère de l’Économie se pourvoit devant le Conseil d’État.

 Pourquoi l’État ne joue-t-il pas la carte de la transparence dans ses relations avec les sociétés d’autoroute ? Enjoint cet été 2016 par le Tribunal administratif de Paris de communiquer à un militant écologiste les nouveaux contrats de concessions autoroutières, le ministère de l’Économie va se pourvoir en cassation devant le Conseil d’État, a-t-on appris auprès du plaignant. Ce dernier, Raymond Avrillier, ancien élu écologiste de la ville de Grenoble, réclame depuis plus d’un an à Bercy l’accès à ces documents, signés le 9 avril 2015. Aboutissement d’un long bras de fer entre l’État et les sociétés concessionnaires, cet accord actait notamment, en échange de la prolongation des concessions, le gel des tarifs des péages en 2015 et une relance de l’investissement dans l’amélioration des axes autoroutiers. De l’avis de nombre d’observateurs, les concessionnaires d’autoroute étaient sortis gagnants, obtenant, pour chaque exigence de Bercy, une compensation. Le militant exige la transparence sur les accords de 2015.
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article32552

Nous sommes presque en Sibérie,
d'ailleurs le vent vient de là-bas ...
Belle journée !
S'exercer à fermer les yeux est aussi important qu'apprendre à les ouvrir.
Jérôme Garcin

d'hiver ...
l'est nous souffle à la figure ...
Bonne soirée, au chaud !
Si nos rêves saignent encore,
c'est qu'ils sont bien vivants…
V. H. Scorp

Je danse sur la rive
où tes yeux me bercent
La rive
qui n'est qu'un nuage de terre et de pluie
Et nus dans la boue et le bleu
les mots nous viennent
comme des mains qui caressent
jacques dor

La poésie
c'est aussi prendre les mots
et les mélanger
dans l'eau douce des sentiments
les plus profonds
puis les faire remonter à la surface
comme des mains qui se tendent.
Nanou

L’arbre a une main,
une longue main blanche.
Et le bras de l’homme
s’épanouit comme une palme.
Une racine de l’arbre est déjà une jambe.
Une jambe de l’homme prend une torsion térébrante
pour s’installer, comme une racine, profondément en terre.
Nous sommes vraiment au nœud d’un métabolisme des images.
Tronc d’un chêne et tronc du corps humain :
voilà un doublet usé du langage courant.
Gaston Bachelard

Collection de lachrymatorys (ou lachrymosas), ces capteurs de chagrins ou flacons lacrymogènes,  parfois portés sur un collier, parfois simplement sur soi ou chez soi, étaient utilisés pour recueillir les larmes des pleureuses lors des funérailles, ou  les larmes des gens qui pleurent la disparition d'êtres chers. Un certain type de lachrymosa avait un trou spécial qui permettait aux larmes de s'évaporer (signifiant le temps d'arrêter le deuil), d'autres étaient scellés pour permettre aux larmes de durer pendant un an, jusqu'au moment où elles seraient versées sur la tombe de la personne défunte.
Epoque victorienne, 19ème siècle.
https://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=http://www.lachrymatory.com/History.htm&prev=search

Les lycaons ou painted dogs (chiens peints), en Afrique.
Certains pensent qu'ils sont les plus anciens chiens de la planète. On parle de 40 millions d'années - des millions d'années de plus que les loups, que beaucoup considèrent comme l'ancêtre direct du chien moderne. Mais des recherches récentes suggèrent que les chiens et les loups descendent d'ancêtres communs, il y a au moins 27.000 ans.
Depuis qu'on connait leur existence, ils n'ont jamais été domestiqués. Ils errent en bandes qui diminuent sans cesse dans les plaines et les forêts d'Afrique sub-saharienne.
Intensément sociaux, ils sont connus pour partager leurs proies - antilopes, gnous, même les rats. Ils n'ont que quatre doigts à chaque patte, par opposition aux chiens domestiques qui ont cinq.
http://www.natura-sciences.com/environnement/lycaon-loup-hyene409.html