LA CONFUSION DES GENRES

Hommage national de Castex aux humanitaires, tués en allant visiter un parc de girafes.

Comme s’ils étaient des soldats. Et prenaient les mêmes risques.

Personne ne nie la tragédie, pour ces jeunes gens qui auraient pu être nos enfants, comme pour leurs familles.

Personne ne prétendra n’éprouver ni tristesse ni colère.

Mais une chose est sûre : on ne s’en va pas photographier, civils désarmés, des girafes dans un coin d’Afrique “jaune cerné de rouge”. Cette région sahélienne que nous devrions interdire carrément au tourisme est, de toutes parts, le champ ouvert d’une guerre mondiale impitoyable pimentée de conflits ethniques, locaux et/ou régionaux, avec l’islam pour ferment et engrais.

Cette Afrique-là, comme d’ailleurs le reste du continent, est, entre autres tares, une bouillie saumâtre de corruption, de népotisme, d’injustice sociale, de délire démographique par l’enfer de la copulation coranisée. Nous sommes bien généreux de sacrifier des dizaines de nos meilleurs soldats pour y maintenir, à la place des centaines de milliers de fuyards qui encombrent nos banlieues, une apparence d’ordre.
https://ripostelaique.com/un-hommage-national-pour-six-jeunes-tues-en-visitant-des-girafes.html

N’en déplaise aux grincheux, Gérald Darmanin… il en a ! On comprendra mieux l’hystérie amazone qui se déchaîne contre ce nouvel Hercule de la place Beauvau qui préfère, dit-on, dérober la ceinture d’Hippolyte que d’aller filer des jours paisibles aux pieds d’Omphale.

Annonce tonitruante, ce jour : dans ces travaux estivaux, qui le voient voler de commissariat en commissariat comme par don d’ubiquité – qui osera prétendre que tout est désespérément calme sous la canicule orageuse d’août –, notre Hercule était, ce dimanche 16, à Saint-Dizier, en Haute-Marne, pour soutenir les forces de l’ordre qui ont procédé, vendredi, à des interpellations visant à empêcher un projet de vengeance après l’agression d’un ressortissant tchétchène. Seize personnes originaires de cette communauté arrêtées, treize étaient encore, ce dimanche matin, maintenues en garde à vue.

Nous sommes, là, dans une gigantomachie caucasienne : parmi les nervis montagnards cadenassés, trois ont été délestés par les forces de l’ordre de couteaux et bâtons, armes de catégorie D – du verbe défoncer ? –, et même d’un sabre, objet noble et tranchant des duels homériques d’antan !

Et, une fois de plus, notre Hercule a dégainé le tweet-massue qui paralyse : « Des consignes ont été données à l’ensemble du ministère de l’Intérieur pour pouvoir comprendre ce phénomène d’ultra-violence d’une certaine communauté. Aucune communauté sur le sol de la République ne fait sa loi. » Tremblez, hydres mafieuses des confins d’Ossétie, oiseaux rapaces de la mer Noire, aucune communauté ne fait sa loi dans la République des Gaules !
https://www.bvoltaire.fr/nom-de-zeus-gerald-darmanin-cest-lhomme-quil-nous-faut/

Après soixante années d’indépendance, l’Algérie n’est plus qu’une poubelle à ciel ouvert (et ce n’est pas nous qui l’affirmons !).

Les Algériens sont en colère contre la télévision française et ses documentaires sur une Algérie qu’ils ne connaissent pas, dans laquelle ils ne vivent pas, et ils ont bien raison !

Le premier magnifique documentaire « Algérie vue du ciel », par Yann Arthus, pouvait, à la rigueur, donner du pays une vision idyllique car « vue du ciel » les détails ne se distinguent pas.
En revanche, le second documentaire, proposé par le magazine « Thalassa », sous le titre « L’Algérie, une mer retrouvée » est sujet à polémiques par les Algériens eux-mêmes.

Selon différents quotidiens algériens, ce documentaire présente une Algérie de carte postale et décrit un véritable Eldorado touristique : des plages immaculées (car nettoyées avant chaque prise de vue et filmées, sous certaines conditions, avec l’accord délivré par le gouvernement, sans que cela soit mentionné à l’antenne, ni par les producteurs, ni par les réalisateurs. Il a fallu que certains reporters de l’émission, faisant preuve d’honnêteté, le soulignent.)

Sites paradisiaques, sports d’été, harmonie de vie partagée, etc. les Algériens, mais surtout les Algériennes ont eu la réelle impression de découvrir les côtes et les plages d’un pays étranger et non pas les côtes et les plages jonchées d’ordures de toutes sortes que la population à l’habitude de fréquenter.

Ces plages où les femmes algériennes doivent se rassembler par dizaines, après s’être fixé rendez-vous sur les réseaux sociaux, afin de pouvoir se baigner en toute liberté en maillot de bain, et non pas en « burkini », pour ne pas subir insultes et même parfois violences !
https://ripostelaique.com/apres-60-ans-dindependance-lalgerie-nest-plus-quune-poubelle-a-ciel-ouvert.html

Le « Che » tire à boulets rouges sur la gauche communautariste ...

Jean-Pierre Chevènement dresse un constat sans appel contre la gauche : elle a échoué. « Nous sommes dans une société gravement fracturée, et de plus en plus violente », affirme-t-il dans son entretien au Point. Il dégage plusieurs maux pour l'expliquer : « cette France éclatée est menacée par la montée des communautarismes ». Et l'ancien ministre n'hésite pas à égratigner son propre camp historique : « La gauche républicaine traditionnelle a capitulé au profit d'une sentimentalité mièvre qu'elle a en commun avec les écologistes ». L'antiracisme qui se dresse contre les violences policières n'est pas épargné par le franc-parler de l'homme politique : il apporte son soutien aux policiers. « La police est une institution républicaine faite pour la sûreté de tous, les policiers sont soumis à une stricte déontologie et, parmi tous les corps de fonctionnaires, ils sont les plus sanctionnés », affirme-t-il. Il va plus loin que la gauche, puisqu'il place le curseur des victimes sur la police elle-même : « Il faut s'interroger sur les violences dont sont de plus en plus victimes les policiers : verbales et physiques. Elles signalent la crise de l'autorité et de la citoyenneté ». Implacable, il balaye la lutte antiraciste : « La lutte des races n'offre aucune perspective de progrès ».
https://www.valeursactuelles.com/politique/jean-pierre-chevenement-deplore-levanescence-du-patriotisme-francais-122680

Une année, il y a bien longtemps, nous sommes allés en voyage organisé à Majorque, à Puerto de Soller. Au cours d'une balade où nous crevions de chaud, ce n'était pas encore la mode des bouteilles d'eau qu'on traîne partout, à la fenêtre d'une jolie maison isolée, nous voyons un couple, nous leur demandons s'ils ne pouvaient pas nous donner un verre d'eau. Ils nous ont invité à entrer et nous ne nous sommes plus quittés pendant notre séjour ... Elle était Française, lui parlait le Français avec l'accent belge. Et ils avaient un chien, un superbe boxer, Gamin, d'une gentillesse et d'une drôlerie !!! Comme ils habitaient une maison isolée, la nuit le chien était dehors dans un très grand enclos, avec un toit car ces chiens sautent très haut. Puis un jour, un petit chien est passé par là, l'a aidé à creuser sous l'enclos et les voilà partis tous les deux et ils ont croisé des moutons et Gamin a tué. Il a été remis dans l'enclos mais il a recommencé et il tuait à chaque fois. Nos amis ont été obligés de le faire piquer.

Il y a quelques temps, au nord de la Loire, des adolescent(e)s ont martyrisé des moutons, je vous en avais d'ailleurs parlé, le lendemain ils étaient libres. En ce moment, je ne sais plus dans quel département ce sont les chevaux qui sont martyrisés dans les prés. Je pense que ces gens qui font souffrir éprouvent une telle folie satanique qu'ils recommenceront. Souvent le sérial killer a commencé en tuant les chats des voisins.

Au fond, nous en sommes revenues aux chauffeurs de pieds du Moyen-âge. Plus d'état, plus de préfet, plus de police, plus de maire ou s'ils bougent ils se font tabasser ...

On ne fait que parler de l'ensauvagement de la société, mais arrêtons d'en parler et agissons ...

Le dossier psychiatrique du patient Emmanuel Macron ...

Je ne suis pas psychologue ni psychiatre de profession, mais possédant quelques petites bases dans ces domaines et quelques amis dans le métier, je me suis penché sur le cas précis de cet homme qui aime tant faire parler de lui, en bien ou en mal, peu lui importe semble-t-il, pourvu qu’on en parle, ce qui était la philosophie commerciale d’André Citroën, en 1948, à propos de sa petite dernière : la 2 CV !

Le patient Macron traîne derrière lui une enfance difficile et un passé traumatisant dont il a souffert et dont il a gardé des blessures et des séquelles profondes.
Sa froideur glaciale, sa personnalité de zombi et son mépris de l’autre (et de tous les autres) aujourd’hui, le démontrent clairement.

J’ai déjà longuement disserté dans d’autres articles sur le cas Macron et je souhaite le faire aujourd’hui d’une façon un peu différente, plus sereine, si c’est possible…
https://ripostelaique.com/le-dossier-psychiatrique-du-patient-emmanuel-macron.html

Insécurité : s’interdire les mots, c’est s’interdire la sanction

En France, de nos jours, il faut ne pas nommer les choses ou les mal nommer, quitte à « ajouter aux malheurs du monde », comme l’aurait dit Confucius. La phrase fut reprise par bien des philosophes, dont Chomsky, qui poursuivait « …ne pas les nommer, c’est nier notre humanité ».

Quand, dans les médias, les conférences de rédaction ou les réunions de cabinet ministériel, on parle de « sauvageons » ou d’« incivilités », on nomme mal les réalités. On déforme. On minimise. On évoque ou se limite à suggérer ce que chacun sait et dont on veut parler. Préciser plus avant devient, alors, aussi interdit que contester la rotondité de la Terre, car le faire jetterait l’opprobre sur les innocents qui partagent l’origine, la religion ou les mœurs qui caractérisent ces sauvageons. Dès lors, on ferme bien vite les yeux devant ces « incivilités », l’indignation est brève. Passé 48 heures, l’excuse se fait jour ! La compréhension s’impose à tous. Même aux juges. Surtout aux juges ! Et l’on préfère oublier.

Pour nommer les crimes et délits, les services de communication semblent inventer un nouveau mot. Porter un nouveau regard. Il semble venu de plus haut ou plus global, il est réputé plus intelligent que nous. Sitôt repris par tous les médias, on parlera de quartiers, de jeunes, de défavorisés, de déséquilibrés… Cet indéfini englobe des jeunes en échec mais méritants, des quartiers pauvres mais calmes, des défavorisés envers qui chacun s’apitoie, sans que la sanction ne se puisse. Qui pourrait condamner un indéfini ? Qui oserait boucler un quartier, hormis Volkoff dans son roman ?
https://www.bvoltaire.fr/insecurite-sinterdire-les-mots-cest-sinterdire-la-sanction/

Les jeunes qui ont tabassé l'infirmière dans un bus ? relâchés ...

Plus de 35 000 hectares de terres sont recouvertes par ce que les espagnols appellent des « invernaderos » (les serres), également appelés collectivement « el mar de plástico » (« la mer de plastique »), qui est même visible depuis le ciel par satellite tant la superficie recouverte par les serres est grande.
https://www.laboiteverte.fr/une-mer-de-plastique-en-espagne/

Nous sommes passés dans cette région, en longeant la côte, les routes étaient difficiles, mais la montagne qui tombait dans la mer devait être sublime autrefois avec ses pins, ses oliviers et ses arbres de maquis. Là, les serres venaient de commencer, ça devait être en fin de saison, nous longions des murs de plastiques déchirés qui s'envolaient vers le large. Sinistre. Tout ça pour nourrir l'Europe, du pas cher, de la mal bouffe et de la chimie. Comme si chaque pays d'Europe ne pouvait pas nourrir son peuple.

Esclavage, colonialisme, STOP aux virus du politiquement correct et de la repentance !

Il n’y a plus une ville en France où l’on puisse se sentir en sécurité

Publié le 13 août 2020 - par Manuel Gomez

Suite, mais hélas, pas fin, des « incivilités » quotidiennes dans notre « Douce France » qui, fort heureusement, paraît-il, échappe à « l’ensauvagement » qui frappe certains autres pays européens.

– À Paris, dans le 13^e arrondissement, mercredi après-midi, dans le parc de Choisy, près de la place d’Italie, les policiers sont appelés afin d’intervenir auprès d’un SDF qui se promène, où plutôt s’exhibe, vêtu uniquement d’un T-shirt.

Se saisissant d’une barre de fer tranchante, l’individu attaque les trois policiers, en blessant très grièvement deux. Le troisième tire à quatre reprises et touche le SDF à l’abdomen, mais il les poursuit dans le square, avant de s’effondrer une centaine de mètres plus loin.

L’individu a été transporté vers l’hôpital dans un état grave, ainsi que les deux policiers, victimes de cette agression.

La scène a été filmée par les caméras de la ville de Paris.

– Dans un autre arrondissement de la capitale, le 14^e, toujours ce mercredi, vers 18 h 30, un automobiliste, sous l’emprise de stupéfiants, tente d’échapper à un contrôle policier.

Au croisement des boulevards Raspail et Montparnasse, il renverse et tue un cycliste.
https://ripostelaique.com/il-ny-a-plus-une-ville-en-france-ou-lon-puisse-se-sentir-en-securite.html